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Les Belges sont de grands amateurs de chocolat…et attendent qu’il soit produit dans les meilleures conditions. Nous aussi. Pourtant, les communautés de producteurs de cacao sont confrontées à d’immenses problématiques, notamment une pauvreté rurale importante avec pour conséquence désastreuse le travail des enfants. C’est pourquoi Nestlé veut aller bien plus loin que les mécanismes de primes communes à l’industrie afin d’augmenter tangiblement les revenus et les conditions de vie des producteurs. Comment ? A travers une approche innovante d’incitants en espèces qui récompense les familles qui mènent des pratiques bénéfiques pour leurs enfants, l'environnement et les communautés locales. Avec en ligne de mire le travail des enfants et l’agriculture régénérative.

En quoi le programme Nestlé d’augmentation des revenus est-il innovant ?

A la différence des pratiques de l’industrie, ce système de primes complémentaires payées en espèces par Nestlé ne dépend pas du volume et de la qualité de cacao vendu. 
Il récompense :

  • La scolarisation des enfants (100 CHF)
  • L’adoption de bonnes pratiques agricoles, tel que l’élagage qui améliore la productivité des cultures (100 CHF)
  • La promotion des activités d’agroforesterie contribuant à renforcer la résilience climatique, comme la plantation d’arbres d’ombrage (100 CHF)
  • La diversification des revenus, comme l’aviculture et l’apiculture ou la transformation d’autres produits tels que le manioc (100 CHF)

Il est égalitaire : les paiements sont répartis équitablement entre les hommes et femmes.

Il est inclusif car il apporte un soutien significatif aux petits agriculteurs, sans laisser personne de côté. 

A côté de ce nouveau programme, Nestlé continue de payer des primes liées au volume et à la qualité du cacao.

income accelerator program

Cash is key : jusqu’à 500 francs suisses par an directement dans la poche des familles

Pour chaque pratique vertueuse, le producteur peut toucher 100 CHF (+/- 100€) supplémentaire par an. S’il travaille sur les 4 axes, il reçoit un bonus de 100 CHF. Après deux ans, la prime sera de 250 CHF lorsque le programme commencera à fournir des résultats tangibles.

Les paiements sont effectués à la famille directement au moyen d’un système sécurisé par mobile pour en assurer la traçabilité. Ils ont lieu au moment où les familles en ont le plus besoin par exemple lors de la rentrée scolaire ou la période précédant la saison des pluies. Des tiers, comme International Cocoa Initiative et Rainforest Alliance, travaillent avec Nestlé pour le suivi.

school-enrollment

De 10 000 à 160 000 familles de producteurs de cacao

Après le premier projet pilote mené en 2020 en Côte d’Ivoire, Nestlé a étendu en 2022 ce programme auprès de 10 000 familles. En 2024 ce sera le tour du Ghana. L’entreprise évaluera cette phase de test et fera les ajustements nécessaires, avant de déployer ce programme auprès de des 160 000 familles de producteurs de cacao de sa chaîne d’approvisionnement mondiale d’ici 2030 et approvisionner toutes nos marques comme KitKat, Lion, Nesquik ou les Desserts de l’Atelier. Une supervision indépendante sera effectuée en continu par un comité consultatif externe dirigé par IDH-The Sustainable Trade Initiative.

Prochain pilote : le café

Nestlé pilotera prochainement un programme de soutien financier avec des mécanismes similaires auprès de ses producteurs de café au Mexique, en Côte d'Ivoire et en Indonésie pour accélérer la transition vers une agriculture régénérative.

Quels partenaires ?

Le déploiement du programme ne serait pas possible sans l'aide et la collaboration de nos partenaires : KIT Institut Royal Tropical, International Cocoa Initiative, IDH -The Sustainable Trade Initiative, Rainforest Alliance, les coopératives locales et producteurs de cacao ainsi que les gouvernements de la Côte d'Ivoire et du Ghana.

Cocoa initiative
KIT royal tropical institute
IDH The sustainable trade initiative
Rainforest Alliance

Et en Belgique? Depuis sa fondation en 2018, Nestlé est membre de Beyond Chocolate. Beyond Chocolate est le Partenariat pour une industrie chocolatière belge durable. Les partenaires de l'initiative s'efforcent de mettre fin à la déforestation, de stimuler l'éducation des générations futures et de fournir un revenu vital aux producteurs de cacao.

Les Belges sont de grands amateurs de chocolat…et attendent qu’il soit produit dans les meilleures conditions. Nous aussi. Pourtant, les communautés de producteurs de cacao sont confrontées à d’immenses problématiques, notamment une pauvreté rurale importante avec pour conséquence désastreuse le travail des enfants. C’est pourquoi Nestlé veut aller bien plus loin que les mécanismes de primes communes à l’industrie afin d’augmenter tangiblement les revenus et les conditions de vie des producteurs. Comment ? A travers une approche innovante d’incitants en espèces qui récompense les familles qui mènent des pratiques bénéfiques pour leurs enfants, l'environnement et les communautés locales. Avec en ligne de mire le travail des enfants et l’agriculture régénérative.

En quoi le programme Nestlé d’augmentation des revenus est-il innovant ?

A la différence des pratiques de l’industrie, ce système de primes complémentaires payées en espèces par Nestlé ne dépend pas du volume et de la qualité de cacao vendu. 
Il récompense :

  • La scolarisation des enfants (100 CHF)
  • L’adoption de bonnes pratiques agricoles, tel que l’élagage qui améliore la productivité des cultures (100 CHF)
  • La promotion des activités d’agroforesterie contribuant à renforcer la résilience climatique, comme la plantation d’arbres d’ombrage (100 CHF)
  • La diversification des revenus, comme l’aviculture et l’apiculture ou la transformation d’autres produits tels que le manioc (100 CHF)

Il est égalitaire : les paiements sont répartis équitablement entre les hommes et femmes.

Il est inclusif car il apporte un soutien significatif aux petits agriculteurs, sans laisser personne de côté. 

A côté de ce nouveau programme, Nestlé continue de payer des primes liées au volume et à la qualité du cacao.

income accelerator program

Cash is key : jusqu’à 500 francs suisses par an directement dans la poche des familles

Pour chaque pratique vertueuse, le producteur peut toucher 100 CHF (+/- 100€) supplémentaire par an. S’il travaille sur les 4 axes, il reçoit un bonus de 100 CHF. Après deux ans, la prime sera de 250 CHF lorsque le programme commencera à fournir des résultats tangibles.

Les paiements sont effectués à la famille directement au moyen d’un système sécurisé par mobile pour en assurer la traçabilité. Ils ont lieu au moment où les familles en ont le plus besoin par exemple lors de la rentrée scolaire ou la période précédant la saison des pluies. Des tiers, comme International Cocoa Initiative et Rainforest Alliance, travaillent avec Nestlé pour le suivi.

school-enrollment

De 10 000 à 160 000 familles de producteurs de cacao

Après le premier projet pilote mené en 2020 en Côte d’Ivoire, Nestlé a étendu en 2022 ce programme auprès de 10 000 familles. En 2024 ce sera le tour du Ghana. L’entreprise évaluera cette phase de test et fera les ajustements nécessaires, avant de déployer ce programme auprès de des 160 000 familles de producteurs de cacao de sa chaîne d’approvisionnement mondiale d’ici 2030 et approvisionner toutes nos marques comme KitKat, Lion, Nesquik ou les Desserts de l’Atelier. Une supervision indépendante sera effectuée en continu par un comité consultatif externe dirigé par IDH-The Sustainable Trade Initiative.

Prochain pilote : le café

Nestlé pilotera prochainement un programme de soutien financier avec des mécanismes similaires auprès de ses producteurs de café au Mexique, en Côte d'Ivoire et en Indonésie pour accélérer la transition vers une agriculture régénérative.

Quels partenaires ?

Le déploiement du programme ne serait pas possible sans l'aide et la collaboration de nos partenaires : KIT Institut Royal Tropical, International Cocoa Initiative, IDH -The Sustainable Trade Initiative, Rainforest Alliance, les coopératives locales et producteurs de cacao ainsi que les gouvernements de la Côte d'Ivoire et du Ghana.

Cocoa initiative
KIT royal tropical institute
IDH The sustainable trade initiative
Rainforest Alliance

Et en Belgique? Depuis sa fondation en 2018, Nestlé est membre de Beyond Chocolate. Beyond Chocolate est le Partenariat pour une industrie chocolatière belge durable. Les partenaires de l'initiative s'efforcent de mettre fin à la déforestation, de stimuler l'éducation des générations futures et de fournir un revenu vital aux producteurs de cacao.

La transition vers une économie circulaire et une réduction des déchets doit se jouer à tous les niveaux de l’entreprise. C’est pourquoi chez Nestlé nous pratiquons la philosophie du « sustainable by design », durable dès la conception. Un état d’esprit qui se manifeste dans toutes nos activités et pour lesquelles nous emmenons un maximum d’acteurs : depuis nos employés jusqu’à nos afficheurs, voire même nos concurrents. Voici trois exemples qui illustrent comment nous passons de la parole aux actes.

De 2 kg à 25 g de déchets résiduels par employé par mois :
Nestlé Belgique devient la première entreprise « Zero Waste »

Tout ce qui rentre au siège est valorisé ! En l’espace de quelques années, le siège de Nestlé à Bruxelles est arrivé à réduire ses déchets résiduels (qui partent à l’incinérateur) à seulement 0.6%. Désormais, les collaborateurs n’ont plus besoin que de trois poubelles : P+MC, papier et déchets organiques. Pour y arriver, Nestlé a dû revoir toute sa chaîne d’approvisionnement avec chacun de ses fournisseurs mais également former ses 480 collaborateurs au bon tri. Et l’on peut dire qu’ils sont la clef du succès de ce projet.

Quels changements ont été opérés ? Les aliments qui sont cuisinés dans le restaurant d’entreprise sont présentés dans des contenants réutilisables ou recyclables. Tous les résidus organiques du bâtiment sont compostés. Les fournitures de bureau doivent être recyclables : finis donc les cahiers à spirale métallique, les emballages multi-matériaux ou même la plastification des documents internes. Même les stylos sont recyclables ! Pour envoyer nos échantillons et notre matériel promotionnel chez nos clients nous déchiquetons nos cartons sur place et nous utilisons les lambeaux pour protéger nos produits fragiles.

Grâce à ses efforts et ses résultats, Nestlé Belgique a décroché le premier certificat « Zero Waste » de Belgique. Délivré par le bureau d’audit indépendant Keurmerk Nederland , il vise à encourager les entreprises à davantage de circularité et à reconnaître les efforts substantiels entrepris par certaines organisations.

Envie d’en savoir plus ? Lisez notre communiqué de presse ici.

Envie de vous y mettre ? Contactez-nous à cet email, nous serons ravis de partager notre expérience avec vous.

Nos campagnes d’affichage en papier 100% recyclé
remportent un prix!

En décembre dernier, les rues du pays ont été le théâtre d’une petite révolution dans notre approche marketing. Non seulement nous lancions notre toute première campagne de lutte contre les déchets sauvages, mais celle-ci était imprimée pour la première fois sur du papier 100% recyclé.

Le constat est clair : trop d’emballages ne trouvent toujours pas le chemin de la poubelle. Pour lutter contre cette problématique, nous avons décidé, en collaboration avec Clear Channel, d’agir directement là où le problème survient, dans les rues, et d’utiliser pour cela le pouvoir de nos marques iconiques Perrier, Vittel, KitKat et Lion. La campagne d’affichage « Ne nous laissez pas tomber » mettait en scène des produits « on the go » dont la marque a été retouchée pour dire ‘Merci’ à ceux et celles qui adoptent le bon réflexe. L’objectif ? Sensibiliser et favoriser les bons comportements.

Mais Nestlé ne s’est pas arrêtée là…

"Nous avons dès lors contacté Clear Channel afin de voir s'il était possible d'imprimer nos affiches sur du papier recyclé. Enthousiasmés par cette initiative, ils ont immédiatement lancé des tests auprès de leur imprimeur et décidé de s’engager à nos côtés. Une première en Belgique qui fait particulièrement sens pour cette campagne".

Ce changement d’approche, qui sera désormais la norme pour toutes les campagnes d’affichage des marques Nestlé, a été salué par les professionnels du marketing qui ont décerné à la campagne un prix Best Campaigns in Outdoor Media (Best OOO) tant pour le fond que la forme!

Le papier 100% recyclé utilisé par Clear Channel est produit en Europe, certifié FSC et garanti sans chlore. Il représente une diminution de minimum 20% des équivalents C02 par rapport au papier vierge.

Envie d’en savoir plus ? Lisez notre communiqué de presse ici

Les capsules de café direction le Sac Bleu

Voici une excellente nouvelle pour les amateurs de café : recycler leurs capsules est encore plus simple ! Depuis le 1er janvier 2023, toutes les capsules de café, en plastique ou en aluminium, peuvent être triées dans le Nouveau Sac Bleu (P+MC). Ce projet de taille, qui a bénéficié d’un très large retentissement médiatique, est l’aboutissement d’années de recherche, de développement et de discussions entre Nespresso et Fost Plus d’abord, rejoints ensuite par JDE Peet’s et Nestlé (pour Starbucks by Nespresso, Nescafé Farmers Origins et Nescafé Dolce Gusto) dès leur arrivée sur le marché. Il représente un investissement réel de la part des trois producteurs de capsules, qui financent le recyclage de l’ensemble des capsules en aluminium et en plastique du marché belge, y compris celles des autres acteurs et des retailers.

Grâce à cette initiative, une nouvelle étape vers une plus grande circularité de nos emballages est encore franchie. Offrir à nos consommateurs le confort et l’efficacité du sac bleu pour recycler nos emballages spécifiquement conçus à cette fin est une réalisation dont nous nous réjouissons. Nos consommateurs pourront continuer à apprécier la qualité de nos cafés tout en contribuant davantage, à nos côtés, à leur donner une seconde vie.

Envie de jouer un rôle avec vos produits ? Tous les producteurs et distributeurs de capsules de boissons du pays sont invités à rejoindre ce partenariat historique.

Les Belges sont de grands amateurs de chocolat…et attendent qu’il soit produit dans les meilleures conditions. Nous aussi. Pourtant, les communautés de producteurs de cacao sont confrontées à d’immenses problématiques, notamment une pauvreté rurale importante avec pour conséquence désastreuse le travail des enfants. C’est pourquoi Nestlé veut aller bien plus loin que les mécanismes de primes communes à l’industrie afin d’augmenter tangiblement les revenus et les conditions de vie des producteurs. Comment ? A travers une approche innovante d’incitants en espèces qui récompense les familles qui mènent des pratiques bénéfiques pour leurs enfants, l'environnement et les communautés locales. Avec en ligne de mire le travail des enfants et l’agriculture régénérative.

En quoi le programme Nestlé d’augmentation des revenus est-il innovant ?

A la différence des pratiques de l’industrie, ce système de primes complémentaires payées en espèces par Nestlé ne dépend pas du volume et de la qualité de cacao vendu. 
Il récompense :

  • La scolarisation des enfants (100 CHF)
  • L’adoption de bonnes pratiques agricoles, tel que l’élagage qui améliore la productivité des cultures (100 CHF)
  • La promotion des activités d’agroforesterie contribuant à renforcer la résilience climatique, comme la plantation d’arbres d’ombrage (100 CHF)
  • La diversification des revenus, comme l’aviculture et l’apiculture ou la transformation d’autres produits tels que le manioc (100 CHF)

Il est égalitaire : les paiements sont répartis équitablement entre les hommes et femmes.

Il est inclusif car il apporte un soutien significatif aux petits agriculteurs, sans laisser personne de côté. 

A côté de ce nouveau programme, Nestlé continue de payer des primes liées au volume et à la qualité du cacao.

income accelerator program

Cash is key : jusqu’à 500 francs suisses par an directement dans la poche des familles

Pour chaque pratique vertueuse, le producteur peut toucher 100 CHF (+/- 100€) supplémentaire par an. S’il travaille sur les 4 axes, il reçoit un bonus de 100 CHF. Après deux ans, la prime sera de 250 CHF lorsque le programme commencera à fournir des résultats tangibles.

Les paiements sont effectués à la famille directement au moyen d’un système sécurisé par mobile pour en assurer la traçabilité. Ils ont lieu au moment où les familles en ont le plus besoin par exemple lors de la rentrée scolaire ou la période précédant la saison des pluies. Des tiers, comme International Cocoa Initiative et Rainforest Alliance, travaillent avec Nestlé pour le suivi.

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De 10 000 à 160 000 familles de producteurs de cacao

Après le premier projet pilote mené en 2020 en Côte d’Ivoire, Nestlé a étendu en 2022 ce programme auprès de 10 000 familles. En 2024 ce sera le tour du Ghana. L’entreprise évaluera cette phase de test et fera les ajustements nécessaires, avant de déployer ce programme auprès de des 160 000 familles de producteurs de cacao de sa chaîne d’approvisionnement mondiale d’ici 2030 et approvisionner toutes nos marques comme KitKat, Lion, Nesquik ou les Desserts de l’Atelier. Une supervision indépendante sera effectuée en continu par un comité consultatif externe dirigé par IDH-The Sustainable Trade Initiative.

Prochain pilote : le café

Nestlé pilotera prochainement un programme de soutien financier avec des mécanismes similaires auprès de ses producteurs de café au Mexique, en Côte d'Ivoire et en Indonésie pour accélérer la transition vers une agriculture régénérative.

Quels partenaires ?

Le déploiement du programme ne serait pas possible sans l'aide et la collaboration de nos partenaires : KIT Institut Royal Tropical, International Cocoa Initiative, IDH -The Sustainable Trade Initiative, Rainforest Alliance, les coopératives locales et producteurs de cacao ainsi que les gouvernements de la Côte d'Ivoire et du Ghana.

Cocoa initiative
KIT royal tropical institute
IDH The sustainable trade initiative
Rainforest Alliance

Et en Belgique? Depuis sa fondation en 2018, Nestlé est membre de Beyond Chocolate. Beyond Chocolate est le Partenariat pour une industrie chocolatière belge durable. Les partenaires de l'initiative s'efforcent de mettre fin à la déforestation, de stimuler l'éducation des générations futures et de fournir un revenu vital aux producteurs de cacao.

Environ 15 % de nos émissions totales de gaz à effet de serre résultent de la fabrication et du transport de nos produits, hors ingrédients. Pour en venir à bout, nos équipes mettent en œuvre de nouveaux modèles et technologies, notamment les carburants bas carbone et l’énergie verte. Depuis les chaudières à biomasse jusqu’à la propulsion éolienne en passant par le biogaz liquéfié ou encore le premier camion 44T 100% électrique, petit tour des initiatives en cours.

Utiliser de l’énergie verte…et même la fabriquer avec du café

Diminuer sa dépendance aux énergies fossiles est l’un des axes clés de la politique de Nestlé en matière de décarbonation de ses activités, ceci afin d’atteindre le zéro émissions nettes pour 2050.

D’une part, utiliser 100% d’électricité verte au sein de tous les sites sera bientôt une réalité. Aujourd’hui, 95% des infrastructures européennes s’alimentent en énergie renouvelable : solaire, éolienne, hydroélectrique ou encore marémotrice. Celle-ci provient soit directement de nos installations, soit elle est achetée. En Belgique, c’est déjà le cas de notre usine d’eau à Etalle et de notre siège bruxellois. D’ici 2025, la totalité de nos sites dans le monde feront de même. 

D’autre part, au-delà des investissements consentis pour améliorer l’efficacité énergétique de nos usines, Nestlé s’attache à utiliser plus d’énergie renouvelable. L’énergie thermique en est l’un des projets centraux. A cet effet nous installons par exemple des pompes à chaleurs, trois fois moins énergivores, et des chaudières à biomasse. 

Par exemple, notre usine Nescafé à Gérone, en Espagne, utilise 80% des 40 000 tonnes de marc de café pour alimenter une chaudière à biomasse qui produit de la vapeur. Remplacer ainsi les sources de gaz naturel permet d'éviter environ 19 000 tonnes d'équivalent CO2 chaque année.
 

production-de-vapeur-coffee-grounds-orbe
marc-de-café-biogaz

En route pour une logistique intelligente et bas carbone

Ce ne sont pas les projets qui manquent chez Nestlé pour s’affranchir des 8% d’émissions que génèrent majoritairement le transport de ses ingrédients et produits. Si la tâche est complexe, et nécessite une coopération accrue dans toute la chaîne, les dernières innovations en la matière offrent des perspectives très encourageantes.

1. Plus de trains et de bateaux et une optimisation constante

Le transport multimodal ne cesse de se développer et permet de transférer le volume des camions à diesel vers rail ou le transport maritime. Nestlé développe sans cesse de nouvelles routes multimodales, qui, avec les bonnes technologies, peuvent permettre de réduire de 50% ses émissions. De plus, elle réduit le transport en avion de certaines catégories de produits. 

Quelques exemples :

  • Depuis 2021, 30 % de la logistique européenne de Nestlé Waters est passée de la route au rail. Les eaux Perrier et San Pellegrino sont livrées en Belgique 100% en train-camion.
  • Les laits de croissance venant de notre usine d’Espagne sont transportés notamment par bateau jusque chez nous
  • En 2022 nous avons déployé en Europe 40 nouvelles routes intermodales pour une réduction de plus de 10.000 tonnes de CO2 par an
  • Deux trains par semaine sont désormais entièrement dédiés au transport de nos produits entre l’Italie et le Royaume-Uni. 

 
La logistique durable, ensuite, vise notamment à maximiser l’utilisation des camions grâce à un système de palettisation efficace. C’est déjà le cas en Suisse avec nos palettes de Nesquik qui ont permis de diminuer d’un tiers les émissions. 

Une autre approche vise aussi moins de livraisons par client, avec leur accord, en maximisant la charge utile de chaque camion ou encore des livraisons directes chez les clients, sans détour par nos entrepôts. 

2. Les carburants alternatifs bas carbone

Nestlé explore toutes les possibilités pour diminuer son recours aux énergies fossiles avec différents types de carburants verts comme le biogaz liquéfié, l’électricité, l’hydrogène et même le vent ! 

  • Nestlé est particulièrement engagée dans le biogaz, un combustible issu des déchets zootechniques et agricoles, permettant de réduire à zéro les émissions de CO2. Nous considérons cette solution comme une pièce maîtresse du puzzle des différentes solutions techniques qui refaçonneront l'industrie du transport à moyen et long terme.
  • En Italie, le BioLNG est utilisé aussi bien pour le transport routier que pour le transport maritime. En 2021, 6000T de CO2 ont été économisées grâce à cette technologie. 
  • Plusieurs projets sont menés en parallèle en France et en Allemagne. Le Royaume-Uni est en train de convertir toute sa flotte en BioLNG. 
  • L’électrification du transport joue aussi un rôle majeur dans la logistique de demain. Nestlé est d’ailleurs l’une des premières entreprises à tester trois nouveaux poids lourds de 44T 100% électriques en Europe
  • Plusieurs camions à hydrogène vert assurent la livraison de nos produits en Suisse, et n’émettent rien du tout…sinon de la vapeur d’eau !
  • Dès 2025, Nestlé Waters France utilisera le premier train de fret alimenté à l’hydrogène grâce à une solution innovante développée par Alstom et ENGIE. À terme, ce projet devrait permettre à Nestlé Waters de réduire les émissions de 10 000 tonnes équivalent CO2 par an, soit uneréduction de 90% de ses émissions annuelles actuelles.
  • Enfin, Nestlé Waters a rejoint la Shipper's Coalition, une organisation à but non lucratif soutenant la construction de nouveaux navires à propulsion éolienne pour le transport de l'Europe vers les États-Unis. Cette technologie devrait réduire de 50% les émissions liées au fret maritime. 
train hydrogène
emissions CO2 graph EN
Comment sont réparties les émissions de gaz à effet de serre chez Nestlé ? Les ingrédients en constituent la plus grande partie (72%) et sont suivis par les emballages, la logistique et la fabrication des produits. D’ici 2030 nous voulons réduire de moitié nos émissions pour arriver à zéro émissions nettes en 2050.
95 %
40
20 %

Environ 15 % de nos émissions totales de gaz à effet de serre résultent de la fabrication et du transport de nos produits, hors ingrédients. Pour en venir à bout, nos équipes mettent en œuvre de nouveaux modèles et technologies, notamment les carburants bas carbone et l’énergie verte. Depuis les chaudières à biomasse jusqu’à la propulsion éolienne en passant par le biogaz liquéfié ou encore le premier camion 44T 100% électrique, petit tour des initiatives en cours.

Utiliser de l’énergie verte…et même la fabriquer avec du café

Diminuer sa dépendance aux énergies fossiles est l’un des axes clés de la politique de Nestlé en matière de décarbonation de ses activités, ceci afin d’atteindre le zéro émissions nettes pour 2050.

D’une part, utiliser 100% d’électricité verte au sein de tous les sites sera bientôt une réalité. Aujourd’hui, 95% des infrastructures européennes s’alimentent en énergie renouvelable : solaire, éolienne, hydroélectrique ou encore marémotrice. Celle-ci provient soit directement de nos installations, soit elle est achetée. En Belgique, c’est déjà le cas de notre usine d’eau à Etalle et de notre siège bruxellois. D’ici 2025, la totalité de nos sites dans le monde feront de même. 

D’autre part, au-delà des investissements consentis pour améliorer l’efficacité énergétique de nos usines, Nestlé s’attache à utiliser plus d’énergie renouvelable. L’énergie thermique en est l’un des projets centraux. A cet effet nous installons par exemple des pompes à chaleurs, trois fois moins énergivores, et des chaudières à biomasse. 

Par exemple, notre usine Nescafé à Gérone, en Espagne, utilise 80% des 40 000 tonnes de marc de café pour alimenter une chaudière à biomasse qui produit de la vapeur. Remplacer ainsi les sources de gaz naturel permet d'éviter environ 19 000 tonnes d'équivalent CO2 chaque année.
 

production-de-vapeur-coffee-grounds-orbe
marc-de-café-biogaz

En route pour une logistique intelligente et bas carbone

Ce ne sont pas les projets qui manquent chez Nestlé pour s’affranchir des 8% d’émissions que génèrent majoritairement le transport de ses ingrédients et produits. Si la tâche est complexe, et nécessite une coopération accrue dans toute la chaîne, les dernières innovations en la matière offrent des perspectives très encourageantes.

1. Plus de trains et de bateaux et une optimisation constante

Le transport multimodal ne cesse de se développer et permet de transférer le volume des camions à diesel vers le rail ou le transport maritime. Nestlé développe sans cesse de nouvelles routes multimodales, qui, avec les bonnes technologies, peuvent permettre de réduire de 50% ses émissions. De plus, elle réduit le transport en avion de certaines catégories de produits. 

Quelques exemples :

  • Depuis 2021, 30 % de la logistique européenne de Nestlé Waters est passée de la route au rail. Les eaux Perrier et San Pellegrino sont livrées en Belgique 100% en train-camion.
  • Les laits de croissance venant de notre usine d’Espagne sont transportés notamment par bateau jusque chez nous
  • En 2022 nous avons déployé en Europe 40 nouvelles routes intermodales pour une réduction de plus de 10.000 tonnes de CO2 par an
  • Deux trains par semaine sont désormais entièrement dédiés au transport de nos produits entre l’Italie et le Royaume-Uni. 

 
La logistique durable, ensuite, vise notamment à maximiser l’utilisation des camions grâce à un système de palettisation efficace. C’est déjà le cas en Suisse avec nos palettes de Nesquik qui ont permis de diminuer d’un tiers les émissions. 

Une autre approche vise aussi moins de livraisons par client, avec leur accord, en maximisant la charge utile de chaque camion ou encore des livraisons directes chez les clients, sans détour par nos entrepôts. 

2. Les carburants alternatifs bas carbone

Nestlé explore toutes les possibilités pour diminuer son recours aux énergies fossiles avec différents types de carburants verts comme le biogaz liquéfié, l’électricité, l’hydrogène et même le vent ! 

  • Nestlé est particulièrement engagée dans le biogaz, un combustible issu des déchets zootechniques et agricoles, permettant de réduire à zéro les émissions de CO2. Nous considérons cette solution comme une pièce maîtresse du puzzle des différentes solutions techniques qui refaçonneront l'industrie du transport à moyen et long terme.
  • En Italie, le BioLNG est utilisé aussi bien pour le transport routier que pour le transport maritime. En 2021, 6000T de CO2 ont été économisées grâce à cette technologie. 
  • Plusieurs projets sont menés en parallèle en France et en Allemagne. Le Royaume-Uni est en train de convertir toute sa flotte en BioLNG. 
  • L’électrification du transport joue aussi un rôle majeur dans la logistique de demain. Nestlé est d’ailleurs l’une des premières entreprises à tester trois nouveaux poids lourds de 44T 100% électriques en Europe
  • Plusieurs camions à hydrogène vert assurent la livraison de nos produits en Suisse, et n’émettent rien du tout…sinon de la vapeur d’eau !
  • Dès 2025, Nestlé Waters France utilisera le premier train de fret alimenté à l’hydrogène grâce à une solution innovante développée par Alstom et ENGIE. À terme, ce projet devrait permettre à Nestlé Waters de réduire les émissions de 10 000 tonnes équivalent CO2 par an, soit uneréduction de 90% de ses émissions annuelles actuelles.
  • Enfin, Nestlé Waters a rejoint la Shipper's Coalition, une organisation à but non lucratif soutenant la construction de nouveaux navires à propulsion éolienne pour le transport de l'Europe vers les États-Unis. Cette technologie devrait réduire de 50% les émissions liées au fret maritime. 
train hydrogène
emissions CO2 graph EN
Comment sont réparties les émissions de gaz à effet de serre chez Nestlé ? Les ingrédients en constituent la plus grande partie (72%) et sont suivis par les emballages, la logistique et la fabrication des produits. D’ici 2030 nous voulons réduire de moitié nos émissions pour arriver à zéro émissions nettes en 2050.
95 %
40
20 %

Face à un contexte inflationniste inédit, le shopper belge, tout comme son moral, son budget et ses habitudes de consommation, a été largement ébranlé.

Si l’heure est à une plus grande sobriété affichée et à une meilleure optimisation de leur budget, les ménages restent désireux d’opter pour une consommation plus responsable et continuent à attacher de l’importance à un grand nombre de valeurs, fortement liées à l’approvisionnement. Même en temps de crise économique, la recherche de sens, donnée à sa propre consommation, est incontournable. Les efforts demandés par le consommateur sur le bien-être animal, l’environnement, les droits humains et la qualité des ingrédients demeurent, et ce même en période d’inflation.

Observons ensemble ces grandes thématiques de l’approvisionnement durable et les défis qu’elles représentent pour les shoppers belges !

Aujourd’hui plus que jamais, consommer de manière responsable, ne se limite plus aux produits finaux mais aussi (et surtout !) à l’ensemble de la phase de production et de distribution.

Si le pouvoir d’achat reste la préoccupation première des consommateurs belges (selon un enquête WWF réalisée en 2022 auprès de 1028 consommateurs belges), ils attachent néanmoins toujours de l’importance à la durabilité. Une étude réalisée par GFK en novembre 2022 montre que parmi les 10 éléments principaux qui influencent le choix du shopper européen, la perception prix arrive en 2ème position, la réduction des déchets obtient la 6ème place, le packaging eco-friendly la 9ème et le bien être animal la 10ème place. La notion de neutralité carbone n’arrive qu’en 14ème place, probablement parce que le concept est complexe à comprendre pour le consommateur.

Attentes envers les entreprises et les autorités

D’ailleurs celui-ci s’informe de plus en plus! Selon la société de consultance PWC, 49% des consommateurs et 66% des millennials européens utilisent internet afin de mieux connaitre les pratiques ESG d’une entreprise avant d’en acheter un produit ou un service. Ils veulent vérifier notamment si le sourcing de l’entreprise est responsable. Ces shoppers attendent des efforts conséquents de la part de sociétés FMCG notamment en ce qui concerne l’énergie, la protection des ressources et la réduction des déchets.

Dès lors, comment allier budget et préoccupations environnementales ? Pour 74% des Belges interrogés, le gouvernement devrait soutenir les produits qui ont un impact faible ou positif sur la planète afin qu’ils soient disponibles à un prix moins élevé (étude BBDO 2022).

Tant le gouvernement que les entreprises (internationales) ou les retailers ont une responsabilité et un rôle important à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Efficaces les labels ? Oui mais avec une bonne dose
de pédagogie!

Pour répondre aux attentes sociétales, un nombre croissant de produits affichent différentes sortes de logos, labels et pictogrammes permettant au shopper de prendre sa décision de la manière la plus éclairée possible. Ceux-ci parlent-ils aux consommateurs et sont-ils bien compris?

Intérêt

  • 64% des shoppers déclarent acheter des produits estampillés d’un label relatif à son empreinte carbone et
  • 60% le font pour les produits labélisés sur le plan du bien-être animal (Source : GfK : Who Cares ? Who does ? Belgium – 2022).

En revanche, sur ces deux critères, un Belge sur quatre déclare ne pas être au courant ou ne pas voir ces labels en magasin lors de ses achats.

Compréhension et confusion

En moyenne, le shopper belge sait identifier 6.3 logos/labels différents relatifs aux allégations équitables, éthiques, bio, écologiques et locaux (Enabel, 2021).

Cependant, la moitié des shoppers affirme qu’ils ne comprennent pas la signification de l’ensemble des labels qu’ils reconnaissent. Et 41% des shoppers estime que la trop grande diversité des labels prête à confusion (WWF, 2022).

Un travail d’harmonisation, de pédagogie et de transparence est donc nécessaire entre retailers et producteurs. A la fois en magasin, à travers des activations ciblées, mais également sur l’ensemble des supports media online et offline, pourrait permettre aux shoppers de faire des choix plus éclairés.

Des shoppers plus responsables en 2022 avec un effet
bénéfique sur toutes les catégories

En ce qui concerne les produits frais (viande, poisson, fruits & légumes), près de 9 shoppers Belges sur 10 donnent leur préférence d’achat aux producteurs locaux (GFK 2022) mais sous deux conditions : la disponibilité des produits en magasin et le prix.

Dans l’attrait pour les produits frais en magasin, les shoppers belges placent en tête la juste rétribution des agriculteurs (GFK, 2022). L’étude nous indique que ces mêmes shoppers, sensibilisés à l’approvisionnement responsable via l’aspect local des produits frais, auront un attrait plus fort pour d’autres gammes de produits telles que les thés, cafés et chocolats issus du commerce équitable.

Envie de changement…mais pas toujours de se renseigner

Si la communication autour des efforts fournis sur l’ensemble des chaînes de production, qu’elles soient locales ou internationales, est clé, on constate cependant un écart, conséquent, entre l’importance que cette thématique prend dans la prise de décision des shoppers belges et la recherche d’informations réelles de la part de la population.

Si au niveau européen 49% des consommateurs disent s’informer (étude PWC), en 2022 seulement 5% des Belges affirmait avoir recherché des informations précises sur les pratiques environnementales des grands groupes (retailers et producteurs), 17% en parlait activement dans son entourage (ou sur les réseaux sociaux!) et dans le même temps, près de 80% des Belges estimait important que ces mêmes groupes agissent davantage en faveur de la planète (GFK, 2022).

Un écart substantiel qui peut laisser une trop grande place à la désinformation, aux croyances persistantes, mais également à l’absence de reconnaissance des efforts fournis par l’industrie pour maintenir et atteindre des objectifs toujours plus ambitieux. La communication reste donc essentielle.

Sincérité, pragmatisme, mais surtout maintien et renforcement
de nos ambitions

Communiquer de manière transparente, sincère et surtout compréhensible envers les shoppers belges à travers l’ensemble des touchpoints qui nous lie à eux (online & offline), voilà le véritable enjeu de cette transition vers un mode de consommation plus responsable en cette période inflationniste. Il est donc capital qu’au sein de la collaboration unissant détaillants et producteurs soit définie une véritable stratégie commune permettant de capitaliser sur les ambitions de chaque partie.

Face à un contexte inflationniste inédit, le shopper belge, tout comme son moral, son budget et ses habitudes de consommation, a été largement ébranlé.

Si l’heure est à une plus grande sobriété affichée et à une meilleure optimisation de leur budget, les ménages restent désireux d’opter pour une consommation plus responsable et continuent à attacher de l’importance à un grand nombre de valeurs, fortement liées à l’approvisionnement. Même en temps de crise économique, la recherche de sens, donnée à sa propre consommation, est incontournable. Les efforts demandés par le consommateur sur le bien-être animal, l’environnement, les droits humains et la qualité des ingrédients demeurent, et ce même en période d’inflation.

Observons ensemble ces grandes thématiques de l’approvisionnement durable et les défis qu’elles représentent pour les shoppers belges !

Aujourd’hui plus que jamais, consommer de manière responsable, ne se limite plus aux produits finaux mais aussi (et surtout !) à l’ensemble de la phase de production et de distribution.

Si le pouvoir d’achat reste la préoccupation première des consommateurs belges (selon un enquête WWF réalisée en 2022 auprès de 1028 consommateurs belges), ils attachent néanmoins toujours de l’importance à la durabilité. Une étude réalisée par GFK en novembre 2022 montre que parmi les 10 éléments principaux qui influencent le choix du shopper européen, la perception prix arrive en 2ème position, la réduction des déchets obtient la 6ème place, le packaging eco-friendly la 9ème et le bien être animal la 10ème place. La notion de neutralité carbone n’arrive qu’en 14ème place, probablement parce que le concept est complexe à comprendre pour le consommateur.

Attentes envers les entreprises et les autorités

D’ailleurs celui-ci s’informe de plus en plus! Selon la société de consultance PWC, 49% des consommateurs et 66% des millennials européens utilisent internet afin de mieux connaitre les pratiques ESG d’une entreprise avant d’en acheter un produit ou un service. Ils veulent vérifier notamment si le sourcing de l’entreprise est responsable. Ces shoppers attendent des efforts conséquents de la part de sociétés FMCG notamment en ce qui concerne l’énergie, la protection des ressources et la réduction des déchets.

Dès lors, comment allier budget et préoccupations environnementales ? Pour 74% des Belges interrogés, le gouvernement devrait soutenir les produits qui ont un impact faible ou positif sur la planète afin qu’ils soient disponibles à un prix moins élevé (étude BBDO 2022).

Tant le gouvernement que les entreprises (internationales) ou les retailers ont une responsabilité et un rôle important à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Efficaces les labels ? Oui mais avec une bonne dose
de pédagogie!

Pour répondre aux attentes sociétales, un nombre croissant de produits affichent différentes sortes de logos, labels et pictogrammes permettant au shopper de prendre sa décision de la manière la plus éclairée possible. Ceux-ci parlent-ils aux consommateurs et sont-ils bien compris?

Intérêt

  • 64% des shoppers déclarent acheter des produits estampillés d’un label relatif à son empreinte carbone et
  • 60% le font pour les produits labélisés sur le plan du bien-être animal (Source : GfK : Who Cares ? Who does ? Belgium – 2022).

En revanche, sur ces deux critères, un Belge sur quatre déclare ne pas être au courant ou ne pas voir ces labels en magasin lors de ses achats.

Compréhension et confusion

En moyenne, le shopper belge sait identifier 6.3 logos/labels différents relatifs aux allégations équitables, éthiques, bio, écologiques et locaux (Enabel, 2021).

Cependant, la moitié des shoppers affirme qu’ils ne comprennent pas la signification de l’ensemble des labels qu’ils reconnaissent. Et 41% des shoppers estime que la trop grande diversité des labels prête à confusion (WWF, 2022).

Un travail d’harmonisation, de pédagogie et de transparence est donc nécessaire entre retailers et producteurs. A la fois en magasin, à travers des activations ciblées, mais également sur l’ensemble des supports media online et offline, pourrait permettre aux shoppers de faire des choix plus éclairés.

Des shoppers plus responsables en 2022 avec un effet
bénéfique sur toutes les catégories

En ce qui concerne les produits frais (viande, poisson, fruits & légumes), près de 9 shoppers Belges sur 10 donnent leur préférence d’achat aux producteurs locaux (GFK 2022) mais sous deux conditions : la disponibilité des produits en magasin et le prix.

Dans l’attrait pour les produits frais en magasin, les shoppers belges placent en tête la juste rétribution des agriculteurs (GFK, 2022). L’étude nous indique que ces mêmes shoppers, sensibilisés à l’approvisionnement responsable via l’aspect local des produits frais, auront un attrait plus fort pour d’autres gammes de produits telles que les thés, cafés et chocolats issus du commerce équitable.

Envie de changement…mais pas toujours de se renseigner

Si la communication autour des efforts fournis sur l’ensemble des chaînes de production, qu’elles soient locales ou internationales, est clé, on constate cependant un écart, conséquent, entre l’importance que cette thématique prend dans la prise de décision des shoppers belges et la recherche d’informations réelles de la part de la population.

Si au niveau européen 49% des consommateurs disent s’informer (étude PWC), en 2022 seulement 5% des Belges affirmait avoir recherché des informations précises sur les pratiques environnementales des grands groupes (retailers et producteurs), 17% en parlait activement dans son entourage (ou sur les réseaux sociaux!) et dans le même temps, près de 80% des Belges estimait important que ces mêmes groupes agissent davantage en faveur de la planète (GFK, 2022).

Un écart substantiel qui peut laisser une trop grande place à la désinformation, aux croyances persistantes, mais également à l’absence de reconnaissance des efforts fournis par l’industrie pour maintenir et atteindre des objectifs toujours plus ambitieux. La communication reste donc essentielle.

Sincérité, pragmatisme, mais surtout maintien et renforcement
de nos ambitions

Communiquer de manière transparente, sincère et surtout compréhensible envers les shoppers belges à travers l’ensemble des touchpoints qui nous lie à eux (online & offline), voilà le véritable enjeu de cette transition vers un mode de consommation plus responsable en cette période inflationniste. Il est donc capital qu’au sein de la collaboration unissant détaillants et producteurs soit définie une véritable stratégie commune permettant de capitaliser sur les ambitions de chaque partie.

C’est connu, l’élevage de bétail, pour la production de lait ou de viande, produit d’importantes émissions de CO2. Alors, comment rendre le fameux or blanc beaucoup plus vert…voire atteindre le zéro émissions nettes ? Trèfle, massages, robots fumier ou encore biogaz : de l’alimentation à la gestion du troupeau, Nestlé innove pour diminuer drastiquement les émissions de sa filière laitière partout dans le monde. En solo ? Absolument pas ! L’approvisionnement durable nécessite des partenariats à tous les niveaux de la chaîne. Petite visite de deux projets aux Pays-Bas et en Allemagne.

Le lait, principale source d’émissions. Et chez vous ?

En Belgique, on adore le lait ! Notre consommation de lait est l’une des plus élevées d’Europe. Partout dans le monde les produits laitiers accompagnent toutes les étapes de la vie, depuis les premiers jours jusqu’à un âge avancé. Mais avec quelles conséquences pour la planète ?

Chez Nestlé, le lait et les produits laitiers sont les matières premières les plus importantes en volume …et elles constituent l’une de nos principales sources d’émissions de CO2. Nous les utilisons par exemple dans nos laits pour bébé, nos cappuccinos, le Nesquik, le lait concentré sucré ou encore nos barres et chocolats.

Grâce à des années de recherches, nous sommes convaincus qu'il est possible d'intensifier la durabilité de ce secteur et même d'atteindre le zéro émissions nettes. Afin d’atteindre notre objectif mondial net zero d’ici 2050, nous innovons dans la filière laitière aux quatre coins de la planète, à travers 100 projets pilotes, dont 20 fermes en voie d’atteindre la neutralité carbone prochainement.

Quels projets inspirants aux portes de la Belgique ?
Direction les Pays-Bas et l’Allemagne !

Aux Pays-Bas Nestlé vient de lancer un projet pilote de taille en collaboration avec son fournisseur Vreugdenhil Dairy Foods, l'Université de Wageningen et un petit groupe d’agriculteurs enthousiastes. L’objectif : réduire de moitié les émissions de 17 exploitations néerlandaises d’ici 2030 principalement grâce à l’agriculture régénérative, et étendre progressivement le projet à 250 fermes. Montant de l’investissement conjoint avec Vreugdenhil: 50 millions d’euros.

Après les USA et l’Afrique du Sud, Nestlé a lancé en Allemagne sa première ferme laitière dont l’objectif est d’atteindre zéro émissions nettes d’ici 2025. Mario et ses 135 vaches seront épaulés par les équipes scientifiques de Nestlé et de ses partenaires, et partageront leurs connaissances avec d’autres exploitations en Allemagne et dans le monde.

Il n’y a pas que le méthane !

Plusieurs paramètres influencent l’impact environnemental des fermes, à des niveaux variables, et agissent les uns sur les autres. Une approche holistique est dès lors nécessaire.

Klimatmelch

Transparence et responsabilité : suivi de nos progrès
et liste de nos fournisseurs accessibles

À travers notre initiative « Dairy for You » nous voulons accélérer la façon dont nous nous approvisionnons et produisons des produits laitiers nutritifs de manière durable et responsable. C’est pourquoi nous partageons en toute transparence nos progrès avec nos principales parties prenantes, y compris les consommateurs. Pour tenir nos fournisseurs et nous-mêmes responsables et pour favoriser la transparence à l'échelle de l'industrie, nous avons publié la liste de nos fournisseurs d'ingrédients laitiers de niveau 1 et la liste de nos fournisseurs de lait frais de notre chaîne d'approvisionnement.

C’est connu, l’élevage de bétail, pour la production de lait ou de viande, produit d’importantes émissions de CO2. Alors, comment rendre le fameux or blanc beaucoup plus vert…voire atteindre le zéro émissions nettes ? Trèfle, massages, robots fumier ou encore biogaz : de l’alimentation à la gestion du troupeau, Nestlé innove pour diminuer drastiquement les émissions de sa filière laitière partout dans le monde. En solo ? Absolument pas ! L’approvisionnement durable nécessite des partenariats à tous les niveaux de la chaîne. Petite visite de deux projets aux Pays-Bas et en Allemagne.

Le lait, principale source d’émissions. Et chez vous ?

En Belgique, on adore le lait ! Notre consommation de lait est l’une des plus élevées d’Europe. Partout dans le monde les produits laitiers accompagnent toutes les étapes de la vie, depuis les premiers jours jusqu’à un âge avancé. Mais avec quelles conséquences pour la planète ?

Chez Nestlé, le lait et les produits laitiers sont les matières premières les plus importantes en volume …et elles constituent l’une de nos principales sources d’émissions de CO2. Nous les utilisons par exemple dans nos laits pour bébé, nos cappuccinos, le Nesquik, le lait concentré sucré ou encore nos barres et chocolats.

Grâce à des années de recherches, nous sommes convaincus qu'il est possible d'intensifier la durabilité de ce secteur et même d'atteindre le zéro émissions nettes. Afin d’atteindre notre objectif mondial net zero d’ici 2050, nous innovons dans la filière laitière aux quatre coins de la planète, à travers 100 projets pilotes, dont 20 fermes en voie d’atteindre la neutralité carbone prochainement.

Quels projets inspirants aux portes de la Belgique ?
Direction les Pays-Bas et l’Allemagne !

Aux Pays-Bas Nestlé vient de lancer un projet pilote de taille en collaboration avec son fournisseur Vreugdenhil Dairy Foods, l'Université de Wageningen et un petit groupe d’agriculteurs enthousiastes. L’objectif : réduire de moitié les émissions de 17 exploitations néerlandaises d’ici 2030 principalement grâce à l’agriculture régénérative, et étendre progressivement le projet à 250 fermes. Montant de l’investissement conjoint avec Vreugdenhil: 50 millions d’euros.

Après les USA et l’Afrique du Sud, Nestlé a lancé en Allemagne sa première ferme laitière dont l’objectif est d’atteindre zéro émissions nettes d’ici 2025. Mario et ses 135 vaches seront épaulés par les équipes scientifiques de Nestlé et de ses partenaires, et partageront leurs connaissances avec d’autres exploitations en Allemagne et dans le monde.

Il n’y a pas que le méthane !

Plusieurs paramètres influencent l’impact environnemental des fermes, à des niveaux variables, et agissent les uns sur les autres. Une approche holistique est dès lors nécessaire.

Klimamilch

Transparence et responsabilité : suivi de nos progrès
et liste de nos fournisseurs accessibles

À travers notre initiative « Dairy for You » nous voulons accélérer la façon dont nous nous approvisionnons et produisons des produits laitiers nutritifs de manière durable et responsable. C’est pourquoi nous partageons en toute transparence nos progrès avec nos principales parties prenantes, y compris les consommateurs. Pour tenir nos fournisseurs et nous-mêmes responsables et pour favoriser la transparence à l'échelle de l'industrie, nous avons publié la liste de nos fournisseurs d'ingrédients laitiers de niveau 1 et la liste de nos fournisseurs de lait frais de notre chaîne d'approvisionnement.