C’est connu, l’élevage de bétail, pour la production de lait ou de viande, produit d’importantes émissions de CO₂. Alors, comment rendre le fameux or blanc beaucoup plus vert…voire atteindre le zéro émissions nettes ? Trèfle, massages, robots fumier ou encore biogaz : de l’alimentation à la gestion du troupeau, Nestlé innove pour diminuer drastiquement les émissions de sa filière laitière partout dans le monde. En solo ? Absolument pas ! L’approvisionnement durable nécessite des partenariats à tous les niveaux de la chaîne. Petite visite de deux projets aux Pays-Bas et en Allemagne.

Le lait, principale source d’émissions. Et chez vous ?

En Belgique, on adore le lait ! Notre consommation de lait est l’une des plus élevées d’Europe. Partout dans le monde les produits laitiers accompagnent toutes les étapes de la vie, depuis les premiers jours jusqu’à un âge avancé. Mais avec quelles conséquences pour la planète ?

Chez Nestlé, le lait et les produits laitiers sont les matières premières les plus importantes en volume …et elles constituent l’une de nos principales sources d’émissions de CO₂. Nous les utilisons par exemple dans nos laits pour bébé, nos cappuccinos, le Nesquik, le lait concentré sucré ou encore nos barres et chocolats.

Grâce à des années de recherches, nous sommes convaincus qu'il est possible d'intensifier la durabilité de ce secteur et même d'atteindre le zéro émissions nettes. Afin d’atteindre notre objectif mondial net zero d’ici 2050, nous innovons dans la filière laitière aux quatre coins de la planète, à travers 100 projets pilotes, dont 20 fermes en voie d’atteindre la neutralité carbone prochainement.

Quels projets inspirants aux portes de la Belgique ?
Direction les Pays-Bas et l’Allemagne !

Aux Pays-Bas Nestlé vient de lancer un projet pilote de taille en collaboration avec son fournisseur Vreugdenhil Dairy Foods, l'Université de Wageningen et un petit groupe d’agriculteurs enthousiastes. L’objectif : réduire de moitié les émissions de 17 exploitations néerlandaises d’ici 2030 principalement grâce à l’agriculture régénérative, et étendre progressivement le projet à 250 fermes. Montant de l’investissement conjoint avec Vreugdenhil: 50 millions d’euros.

Après les USA et l’Afrique du Sud, Nestlé a lancé en Allemagne sa première ferme laitière dont l’objectif est d’atteindre zéro émissions nettes d’ici 2025. Mario et ses 135 vaches seront épaulés par les équipes scientifiques de Nestlé et de ses partenaires, et partageront leurs connaissances avec d’autres exploitations en Allemagne et dans le monde.

Il n’y a pas que le méthane !

Plusieurs paramètres influencent l’impact environnemental des fermes, à des niveaux variables, et agissent les uns sur les autres. Une approche holistique est dès lors nécessaire.

Transparence et responsabilité : suivi de nos progrès
et liste de nos fournisseurs accessibles

À travers notre initiative « Dairy for You » nous voulons accélérer la façon dont nous nous approvisionnons et produisons des produits laitiers nutritifs de manière durable et responsable. C’est pourquoi nous partageons en toute transparence nos progrès avec nos principales parties prenantes, y compris les consommateurs. Pour tenir nos fournisseurs et nous-mêmes responsables et pour favoriser la transparence à l'échelle de l'industrie, nous avons publié la liste de nos fournisseurs d'ingrédients laitiers de niveau 1 et la liste de nos fournisseurs de lait frais de notre chaîne d'approvisionnement.

Une assiette plus végétale est la clé d’une alimentation durable. Ce changement améliore notre santé et contribue à préserver l’environnement. Pour franchir facilement et délicieusement le pas, mettez au menu 4 aliments prioritaires. Toutes nos explications ci-dessous.

En 2019, les chercheurs ont examiné les modifications des habitudes alimentaires les plus bénéfiques pour la santé des Belges. Cinq priorités ont été mises en avant. Les quatre premiers messages sont positifs : nous devons manger davantage des produits qui sont bons pour nous ! Des aliments aux propriétés extrêmement bénéfiques et très riches en nutriments dont notre corps a besoin.

4 fois plus de végétaux dans l’assiette

Priorité n° 1 : consommer d'avantage de céréales complètes. Nous pouvons en effet en attendre les plus grands bienfaits pour notre santé. Pourtant, bon nombre de Belges boudent encore les céréales complètes. Essayez de remplacer au moins une fois par jour vos céréales raffinées par leur variante complète. Mieux, faites cela à chaque repas. Les autres priorités sont les suivantes, par ordre d’importance : manger plus de légumes et de fruits, plus de légumineuses et plus de fruits à coque et de graines. La 5ème priorité est de diminuer le sel. Vous pouvez vous y habituer progressivement, en remplaçant le sel par d’autres condiments, comme les herbes et les épices.

En respectant les quatre premières priorités, vous végétalisez automatiquement votre assiette, ce qui est une bonne nouvelle pour l’environnement ! Une démarche win-win, tout aussi bénéfique pour votre santé que pour la planète. Envie de savoir comment y parvenir concrètement, au quotidien ? Découvrez-le dans ce mémo visuel, pratique à imprimer et à coller sur votre frigidaire par exemple.

Augmenter la part d’aliments d’origine végétale doit pouvoir se faire sans prise de tête. Le mieux est de leur accorder progressivement une place plus importante dans votre assiette. De cette façon, vous prenez soin de votre santé mais vous faites également un beau geste pour la planète. Quelques astuces :

• Végétalisez progressivement votre assiette
• Fixez-vous des objectifs modestes mais réalisables
• Concentrez-vous sur les trois principaux repas mais n’oubliez pas les en-cas
• Concevez toujours les menus de la semaine autour des légumes
• Faites-vous éventuellement conseiller par un diététicien
• Et surtout, profitez-en pour vous faire plaisir :
  • Croq’légumes
  • Brochettes de fruits
  • Dips de légumes et de légumineuses à l’apéro
  • Plats traditionnels revisités en mode légumineuses
  • …

La transition protéique est plus que jamais à l’ordre du jour ! Privilégier les protéines végétales et la clé d’une alimentation plus durable. Pourtant, les protéines animales constituent encore aujourd’hui l’essentiel de nos apports protéinés. Petit aperçu

L’assiette santé planétaire, composée en 2019 par EAT-Lancet, le montre clairement : les produits alimentaires d’origine végétale jouent un rôle important dans l’harmonie homme-planète. Pour garantir la sécurité alimentaire à long terme et s’assurer que notre planète puisse produire suffisamment d’aliments nutritifs d’ici 2050 pour une population toujours croissante, il faut absolument modifier nos apports alimentaires et opérer la transition protéique.

Les Recommandations alimentaires pour la population belge adulte (publiées en 2019) insistent aussi sur l’importance d’une alimentation plus riche en produits végétaux. En vue de l’élaboration des dernières recommandations nutritionnelles, les facteurs de risque liés à notre alimentation ont été mis en avant. Il en ressort que l’augmentation de la consommation d’aliments d’origine végétale serait le principal levier d’amélioration de la santé en Belgique. Il convient ici de privilégier, par ordre décroissant d’importance, les céréales complètes, les légumes et les fruits, les légumineuses, les fruits à coque et les graines.

Une alimentation trop riche en protéines animales

Les nombreuses études scientifiques et les recommandations alimentaires vont toutes dans le même sens et préconisent de consommer davantage d’aliments d’origine végétale et de diminuer la part des aliments d’origine animale. La transition protéique est ici un levier important dont il est beaucoup question. Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Premier constat : les apports moyens en protéines des Belges (3-64 ans) sont supérieurs aux apports recommandés (79 g/jour), ainsi que le révèle clairement la dernière enquête nationale de consommation alimentaire. Les aliments d’origine végétale ne représentent que 26 % des apports protéiques totaux – dont 21 % pour les céréales et produits à base de céréales.

En Belgique, les apports en protéines sont majoritairement assurés par la viande, les poissons, les œufs et les substituts végétaux à la viande, la part de ces derniers dans les apports protéiques totaux étant particulièrement peu élevée (en moyenne 4g/jour). Dès lors, 95 % de la population ne respectent pas les apports recommandés en protéines végétales (une fois par semaine). Près de 20 % de la population indique en outre ne jamais consommer de substituts végétaux aux protéines animales.

Transition protéique et qualité des protéines

La consommation moyenne de protéines en Belgique, même si elle a légèrement évolué depuis la dernière enquête alimentaire de 2016, confirme l’importance d’une transition protéique. Les apports protéiques moyens sont en effet supérieurs aux recommandations, et la part des protéines végétales est encore faible. Une transition protéique – basée sur une diminution des apports en protéines animales et une hausse de la consommation des protéines végétales – s’impose pour rétablir cet équilibre.

Pour concrétiser cela, le Green Deal a été mis en place. Plusieurs instituts et entreprises, dont Nestlé, travaillent ensemble pour atteindre le même objectif : rétablir la consommation de protéines en Flandre avec un meilleur rapport entre les sources de protéines animales et végétales d'ici 2030, soit 40/60%.

Il y a lieu toutefois de tenir compte du fait que les apports nécessaires et la qualité des protéines varient considérablement d’une source à l’autre. Pour soutenir de manière optimale le bon fonctionnement de l’organisme, il conviendra donc d’en tenir compte. Une alimentation contenant d’importantes quantités de protéines de moindre qualité risque en effet d’entraîner des carences, ou inversement, des excès. La quantité fait simplement référence au « volume » de protéines, alors que la qualité dépend de deux facteurs :

• La disponibilité biologique, la digestibilité des protéines
• La présence d’acides aminés limitants

La qualité des protéines s’exprime généralement en PDCAAS. Le lait, les œufs et le soja affichent un score PDCAAS de 100 %. Ils contiennent tous les acides aminés en quantités suffisantes et la disponibilité biologique de leurs protéines est optimale. Le score PDCAAS des protéines végétales étant souvent moins élevé, les végétariens veilleront à consommer 20 % de protéines en plus et les végans, 30 % de plus.

L’alimentation des Belges étant riche en protéines, les risques de carence à court terme sont exclus en cas de remplacement occasionnel de produits d’origine animale par des produits d’origine végétale. Une transition protéique optimale nécessite toutefois d’être attentif à la diversité des sources, et de varier ces sources, surtout en cas de passage à une alimentation plus végétale. Les aliments contenant un acide aminé limitant doivent donc être associés à des produits contenant d’autres acides aminés limitants, de façon à couvrir les besoins de l’organisme en acides aminés.

Pour accélérer cette transition, le Gouvernement flamand a lancé sa stratégie protéines 2021-2030 (« Green Deal Protein Shift ») l’idée étant de promouvoir les protéines locales, durables et saines, de la production à la consommation. L’objectif est de garantir durablement la disponibilité des sources traditionnelles de protéines et d’autre part de diversifier l’offre de protéines pour garantir une transition protéique dans un souci de durabilité.

Grains de café

Depuis plus de 30 ans, Nestlé est à l’avant-garde de l’offre de café conditionné dans des capsules garantissant qualité et fraîcheur, livrées par des machines qui utilisent une quantité précise d’eau et d’énergie pour chaque tasse.

Nous nous engageons à donner une seconde vie à toutes nos capsules de café après utilisation. Cela nécessite un éventail de solutions, notamment la mise en place d’emballages circulaires, le pilotage et la mise à l’échelle de nouveaux matériaux et technologies, ainsi que l’investissement dans des infrastructures de tri et de recyclage qui fonctionnent bien.

Évaluation de l’impact environnemental des capsules de café

La capsule de café joue un rôle clé pour assurer qu’une quantité très précise de café est utilisée pour préparer une tasse de café. Cela nous permet d’utiliser de précieuses ressources de manière efficace et contribue à minimiser l’empreinte carbone avec des résultats constants dans la tasse, à chaque fois.

Comment le savons-nous ? Nous analysons l’impact environnemental de notre offre de consommation de café de précision. Dans les évaluations du cycle de vie (ACV) revues par les pairs menées par Quantis, il a été conclu qu’un café brassé avec une machine Nespresso, utilisant une capsule en aluminium ou en papier compostable, a une empreinte carbone similaire à celle d’autres méthodes de brassage telles que le filtre goutte-à-goutte et les systèmes de café moka. Il a également été constaté qu’un système automatique complet a une empreinte carbone 30 % plus élevée que les autres systèmes.

1. Rendre l’emballage circulaire et utiliser moins de matières premières vierges

Nous continuons d’augmenter l’utilisation du plastique et de l’aluminium recyclés. Nous pensons que la technologie va continuer à évoluer, et nous continuerons à adapter nos approches en matière d’utilisation des matériaux existants.

En 2020, Nespresso a lancé des capsules de café utilisant 80 % d’aluminium recyclé. Cela s’inscrit dans le parcours continu de l’entreprise vers la circularité, en allant plus loin pour minimiser les déchets et maximiser la réutilisation des matériaux des produits.

Nescafé Dolce Gusto améliore constamment la conception de ses emballages pour utiliser moins de plastique vierge lorsque cela est possible, visant à réduire son utilisation de plastique vierge d’un tiers d’ici 2025. Déjà cette année, en mars 2023, Nescafé Dolce Gusto aura réduit la quantité de polypropylène dans toutes les capsules de 13 %, permettant d’économiser environ 8 200 tonnes de plastique depuis 2018.

2. Investir dans une infrastructure de tri et de recyclage qui fonctionne bien

Les flux de recyclage et de compostage joueront un rôle important dans la réalisation d’une économie circulaire. La création d’une infrastructure évolutive et efficace nécessite du temps, de l’investissement, de l’expertise, de l’innovation et, surtout, une collaboration.

Depuis 2014, Nestlé a investi plus de 300 millions de francs suisses dans des infrastructures de recyclage à travers le monde pour ses capsules de café, afin de donner de la valeur à des matériaux qui auraient autrement pu être gaspillés ou perdus. Bien qu’il reste encore des progrès à faire, les taux de recyclage continuent d’augmenter et un recyclage efficace reste un élément fondamental de la solution pour lutter contre les déchets d’emballage.

Exemples en Europe

Belgique

• Nous avons collaboré avec d’autres marques de café et producteurs d’emballages en aluminium pour permettre le recyclage des capsules de café Nestlé via le sac bleu Plastic, Metal and Drinks (PMD) à partir de janvier 2023. Des projets similaires ont également eu lieu en Europe, y compris en France, en Allemagne et en Espagne.

France

• Nespresso, Nestlé et JDE Peet’s ont formé l’Alliance pour le Recyclage des Capsules en Aluminium en 2019, avec l’intention audacieuse de recycler toutes les capsules en aluminium en France. Grâce à cette alliance, nous avons pu équiper 51 centres de recyclage en France de machines spécialisées pour recycler les capsules en aluminium. Le programme public de recyclage (« la poubelle jaune ») peut désormais être utilisé par 30 millions de personnes en France pour recycler les capsules en aluminium. À l’échelle mondiale, 88 % des Membres du Club Nespresso ont accès à une solution de recyclage Nespresso dédiée pour les capsules à proximité de leur domicile.

3. Piloter de nouveaux matériaux à l’échelle et avoir un impact positif à l’avenir

Nous ne nous contentons pas de faire évoluer, de renforcer et de repenser les solutions d’emballage existantes, nous investissons également dans de nouvelles solutions. Faire évoluer de nouvelles solutions prend du temps, notre approche consiste donc à tester et à apprendre, puis à prendre des décisions éclairées sur les solutions qui, selon nous, peuvent avoir le plus grand impact positif.

L’une des meilleures façons de progresser vers la circularité et la durabilité est de proposer des solutions complémentaires qui offrent aux consommateurs le choix du système le plus pratique et le plus accessible pour eux. Le compostage et le recyclage peuvent être des solutions efficaces.

L’année dernière, nous avons annoncé deux innovations dans le domaine des capsules compostables à base de papier, toutes deux certifiées pour le compostage domestique et industriel par TÜV Austria :

4. Contribuer à notre feuille de route zéro émission nette pour 2050

Notre approche visant à rendre nos emballages de café à consommation de précision plus durables est une partie importante de la stratégie de durabilité des emballages à cinq piliers de Nestlé, qui contribuera à notre objectif global d’atteindre zéro émission nette d’ici 2050.

En ce qui concerne nos capsules, la dernière goutte ne signifie pas la dernière utilisation !

Qu’il s’agisse d’augmenter la circularité des matériaux d’emballage et des machines à café, de piloter et de mettre à l’échelle de nouvelles innovations, d’investir dans une infrastructure de tri et de recyclage qui fonctionne bien, ou de réduire le besoin de matières premières vierges pour nos capsules de café, ces solutions font toutes partie de notre approche visant à rendre nos emballages de café à consommation de précision plus durables et à donner une seconde vie à nos capsules.

En savoir plus

En savoir plus sur les efforts de durabilité entrepris par nos marques de capsules de café :

• Le parcours de la Nespresso Positive Cup jusqu’en 2030
• Développement durable de Nescafé Dolce Gusto

Vous avez encore des questions ?

Contactez-nous

Vous êtes adepte des régimes divers et variés depuis des années, toujours en quête d’une solution qui marche vraiment ? Vous craquez pour chaque régime à la mode, mais les kilos reviennent aussi vite qu’ils étaient partis ? Brisez ce cercle vicieux et changez d’état d’esprit : optez pour l’alimentation intuitive, au bénéfice de votre bien-être et de votre santé !

Concrètement, comment se mettre à l’alimentation intuitive ? Ne vais-je pas être tenté.e de trop manger ? Pourquoi abandonner les régimes ? Comment se réconcilier avec des aliments comme le chocolat, les chips, les gaufres et les biscuits ? Pourquoi ne suis-je jamais rassasié.e ? J’ai tout le temps faim, l’alimentation intuitive est-elle faite pour moi ? Découvrez ici toutes les réponses à ces questions et les 10 principes de l’alimentation intuitive !

Qu’est-ce que l’alimentation intuitive ?

L’alimentation intuitive repose sur 10 principes pour retrouver une relation saine avec votre corps et les aliments. Finis les régimes et les règles diététiques : vous apprenez à faire confiance aux signaux que votre corps vous envoie, tout en continuant à respecter les recommandations scientifiques en matière de nutrition et de santé. Les 10 principes de l’alimentation intuitive sont énumérés ci-dessous. A vous de choisir dans quel ordre les suivre, en fonction de ce qui fait écho chez vous, de ce qui vous convient et de vos priorités.

1. Dites adieu à la « mentalité régime »
2. Respectez votre sensation de faim
3. Réconciliez-vous avec toutes les catégories d’aliments
4. Tenez tête à vos petites voix
5. Ecoutez vos sensations de satiété
6. Découvrez le facteur satisfaction
7. Ne réprimez pas vos émotions
8. Respectez votre corps
9. Bougez pour le plaisir
10. Respectez les principes d’une alimentation équilibrée

Souvenez-vous que rien ne presse, prenez le temps nécessaire pour vraiment vous alimenter de manière intuitive. Pendant des années, vous vous êtes imposé.e des tas de règles diététiques, vous avez réprimé votre sensation de faim ... Il ne faut pas espérer vous déconditionner du jour au lendemain. Adoptez plutôt progressivement ces nouveaux principes. Commencez par exemple par accepter votre image corporelle ou votre poids et/ou à écouter en pleine conscience vos sensations de faim et de satiété.

Un tout dernier régime avant de vous lancer dans l’alimentation intuitive ? N’espérez pas plus de cette « ultime » tentative que des régimes précédents. A la fin de celui-ci, les kilos perdus reviendront petit à petit.

Notre vision en matière d’emballage est claire : nous travaillons à un monde dans lequel aucun des emballages de Nestlé, y compris le plastique, ne finisse dans une décharge ou comme détritus sur terre ou dans les mers, les lacs et les rivières. En tant que plus grande entreprise agroalimentaire au monde, nos actions comptent et nous nous engageons à mettre notre taille et notre envergure au profit d’un monde sans déchets.

Comment travaillons-nous pour réduire notre impact environnemental ?