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Environ 15 % de nos émissions totales de gaz à effet de serre résultent de la fabrication et du transport de nos produits, hors ingrédients. Pour en venir à bout, nos équipes mettent en œuvre de nouveaux modèles et technologies, notamment les carburants bas carbone et l’énergie verte. Depuis les chaudières à biomasse jusqu’à la propulsion éolienne en passant par le biogaz liquéfié ou encore le premier camion 44T 100% électrique, petit tour des initiatives en cours.

Utiliser de l’énergie verte…et même la fabriquer avec du café

Diminuer sa dépendance aux énergies fossiles est l’un des axes clés de la politique de Nestlé en matière de décarbonation de ses activités, ceci afin d’atteindre le zéro émissions nettes pour 2050.

D’une part, utiliser 100% d’électricité verte au sein de tous les sites sera bientôt une réalité. Aujourd’hui, 95% des infrastructures européennes s’alimentent en énergie renouvelable : solaire, éolienne, hydroélectrique ou encore marémotrice. Celle-ci provient soit directement de nos installations, soit elle est achetée. En Belgique, c’est déjà le cas de notre usine d’eau à Etalle et de notre siège bruxellois. D’ici 2025, la totalité de nos sites dans le monde feront de même. 

D’autre part, au-delà des investissements consentis pour améliorer l’efficacité énergétique de nos usines, Nestlé s’attache à utiliser plus d’énergie renouvelable. L’énergie thermique en est l’un des projets centraux. A cet effet nous installons par exemple des pompes à chaleurs, trois fois moins énergivores, et des chaudières à biomasse. 

Par exemple, notre usine Nescafé à Gérone, en Espagne, utilise 80% des 40 000 tonnes de marc de café pour alimenter une chaudière à biomasse qui produit de la vapeur. Remplacer ainsi les sources de gaz naturel permet d'éviter environ 19 000 tonnes d'équivalent CO2 chaque année.
 

production-de-vapeur-coffee-grounds-orbe
marc-de-café-biogaz

En route pour une logistique intelligente et bas carbone

Ce ne sont pas les projets qui manquent chez Nestlé pour s’affranchir des 8% d’émissions que génèrent majoritairement le transport de ses ingrédients et produits. Si la tâche est complexe, et nécessite une coopération accrue dans toute la chaîne, les dernières innovations en la matière offrent des perspectives très encourageantes.

1. Plus de trains et de bateaux et une optimisation constante

Le transport multimodal ne cesse de se développer et permet de transférer le volume des camions à diesel vers le rail ou le transport maritime. Nestlé développe sans cesse de nouvelles routes multimodales, qui, avec les bonnes technologies, peuvent permettre de réduire de 50% ses émissions. De plus, elle réduit le transport en avion de certaines catégories de produits. 

Quelques exemples :

  • Depuis 2021, 30 % de la logistique européenne de Nestlé Waters est passée de la route au rail. Les eaux Perrier et San Pellegrino sont livrées en Belgique 100% en train-camion.
  • Les laits de croissance venant de notre usine d’Espagne sont transportés notamment par bateau jusque chez nous
  • En 2022 nous avons déployé en Europe 40 nouvelles routes intermodales pour une réduction de plus de 10.000 tonnes de CO2 par an
  • Deux trains par semaine sont désormais entièrement dédiés au transport de nos produits entre l’Italie et le Royaume-Uni. 

 
La logistique durable, ensuite, vise notamment à maximiser l’utilisation des camions grâce à un système de palettisation efficace. C’est déjà le cas en Suisse avec nos palettes de Nesquik qui ont permis de diminuer d’un tiers les émissions. 

Une autre approche vise aussi moins de livraisons par client, avec leur accord, en maximisant la charge utile de chaque camion ou encore des livraisons directes chez les clients, sans détour par nos entrepôts. 

2. Les carburants alternatifs bas carbone

Nestlé explore toutes les possibilités pour diminuer son recours aux énergies fossiles avec différents types de carburants verts comme le biogaz liquéfié, l’électricité, l’hydrogène et même le vent ! 

  • Nestlé est particulièrement engagée dans le biogaz, un combustible issu des déchets zootechniques et agricoles, permettant de réduire à zéro les émissions de CO2. Nous considérons cette solution comme une pièce maîtresse du puzzle des différentes solutions techniques qui refaçonneront l'industrie du transport à moyen et long terme.
  • En Italie, le BioLNG est utilisé aussi bien pour le transport routier que pour le transport maritime. En 2021, 6000T de CO2 ont été économisées grâce à cette technologie. 
  • Plusieurs projets sont menés en parallèle en France et en Allemagne. Le Royaume-Uni est en train de convertir toute sa flotte en BioLNG. 
  • L’électrification du transport joue aussi un rôle majeur dans la logistique de demain. Nestlé est d’ailleurs l’une des premières entreprises à tester trois nouveaux poids lourds de 44T 100% électriques en Europe
  • Plusieurs camions à hydrogène vert assurent la livraison de nos produits en Suisse, et n’émettent rien du tout…sinon de la vapeur d’eau !
  • Dès 2025, Nestlé Waters France utilisera le premier train de fret alimenté à l’hydrogène grâce à une solution innovante développée par Alstom et ENGIE. À terme, ce projet devrait permettre à Nestlé Waters de réduire les émissions de 10 000 tonnes équivalent CO2 par an, soit uneréduction de 90% de ses émissions annuelles actuelles.
  • Enfin, Nestlé Waters a rejoint la Shipper's Coalition, une organisation à but non lucratif soutenant la construction de nouveaux navires à propulsion éolienne pour le transport de l'Europe vers les États-Unis. Cette technologie devrait réduire de 50% les émissions liées au fret maritime. 
train hydrogène
emissions CO2 graph EN
Comment sont réparties les émissions de gaz à effet de serre chez Nestlé ? Les ingrédients en constituent la plus grande partie (72%) et sont suivis par les emballages, la logistique et la fabrication des produits. D’ici 2030 nous voulons réduire de moitié nos émissions pour arriver à zéro émissions nettes en 2050.
95 %
40
20 %

Face à un contexte inflationniste inédit, le shopper belge, tout comme son moral, son budget et ses habitudes de consommation, a été largement ébranlé.

Si l’heure est à une plus grande sobriété affichée et à une meilleure optimisation de leur budget, les ménages restent désireux d’opter pour une consommation plus responsable et continuent à attacher de l’importance à un grand nombre de valeurs, fortement liées à l’approvisionnement. Même en temps de crise économique, la recherche de sens, donnée à sa propre consommation, est incontournable. Les efforts demandés par le consommateur sur le bien-être animal, l’environnement, les droits humains et la qualité des ingrédients demeurent, et ce même en période d’inflation.

Observons ensemble ces grandes thématiques de l’approvisionnement durable et les défis qu’elles représentent pour les shoppers belges !

Aujourd’hui plus que jamais, consommer de manière responsable, ne se limite plus aux produits finaux mais aussi (et surtout !) à l’ensemble de la phase de production et de distribution.

Si le pouvoir d’achat reste la préoccupation première des consommateurs belges (selon un enquête WWF réalisée en 2022 auprès de 1028 consommateurs belges), ils attachent néanmoins toujours de l’importance à la durabilité. Une étude réalisée par GFK en novembre 2022 montre que parmi les 10 éléments principaux qui influencent le choix du shopper européen, la perception prix arrive en 2ème position, la réduction des déchets obtient la 6ème place, le packaging eco-friendly la 9ème et le bien être animal la 10ème place. La notion de neutralité carbone n’arrive qu’en 14ème place, probablement parce que le concept est complexe à comprendre pour le consommateur.

Attentes envers les entreprises et les autorités

D’ailleurs celui-ci s’informe de plus en plus! Selon la société de consultance PWC, 49% des consommateurs et 66% des millennials européens utilisent internet afin de mieux connaitre les pratiques ESG d’une entreprise avant d’en acheter un produit ou un service. Ils veulent vérifier notamment si le sourcing de l’entreprise est responsable. Ces shoppers attendent des efforts conséquents de la part de sociétés FMCG notamment en ce qui concerne l’énergie, la protection des ressources et la réduction des déchets.

Dès lors, comment allier budget et préoccupations environnementales ? Pour 74% des Belges interrogés, le gouvernement devrait soutenir les produits qui ont un impact faible ou positif sur la planète afin qu’ils soient disponibles à un prix moins élevé (étude BBDO 2022).

Tant le gouvernement que les entreprises (internationales) ou les retailers ont une responsabilité et un rôle important à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Efficaces les labels ? Oui mais avec une bonne dose
de pédagogie!

Pour répondre aux attentes sociétales, un nombre croissant de produits affichent différentes sortes de logos, labels et pictogrammes permettant au shopper de prendre sa décision de la manière la plus éclairée possible. Ceux-ci parlent-ils aux consommateurs et sont-ils bien compris?

Intérêt

  • 64% des shoppers déclarent acheter des produits estampillés d’un label relatif à son empreinte carbone et
  • 60% le font pour les produits labélisés sur le plan du bien-être animal (Source : GfK : Who Cares ? Who does ? Belgium – 2022).

En revanche, sur ces deux critères, un Belge sur quatre déclare ne pas être au courant ou ne pas voir ces labels en magasin lors de ses achats.

Compréhension et confusion

En moyenne, le shopper belge sait identifier 6.3 logos/labels différents relatifs aux allégations équitables, éthiques, bio, écologiques et locaux (Enabel, 2021).

Cependant, la moitié des shoppers affirme qu’ils ne comprennent pas la signification de l’ensemble des labels qu’ils reconnaissent. Et 41% des shoppers estime que la trop grande diversité des labels prête à confusion (WWF, 2022).

Un travail d’harmonisation, de pédagogie et de transparence est donc nécessaire entre retailers et producteurs. A la fois en magasin, à travers des activations ciblées, mais également sur l’ensemble des supports media online et offline, pourrait permettre aux shoppers de faire des choix plus éclairés.

Des shoppers plus responsables en 2022 avec un effet
bénéfique sur toutes les catégories

En ce qui concerne les produits frais (viande, poisson, fruits & légumes), près de 9 shoppers Belges sur 10 donnent leur préférence d’achat aux producteurs locaux (GFK 2022) mais sous deux conditions : la disponibilité des produits en magasin et le prix.

Dans l’attrait pour les produits frais en magasin, les shoppers belges placent en tête la juste rétribution des agriculteurs (GFK, 2022). L’étude nous indique que ces mêmes shoppers, sensibilisés à l’approvisionnement responsable via l’aspect local des produits frais, auront un attrait plus fort pour d’autres gammes de produits telles que les thés, cafés et chocolats issus du commerce équitable.

Envie de changement…mais pas toujours de se renseigner

Si la communication autour des efforts fournis sur l’ensemble des chaînes de production, qu’elles soient locales ou internationales, est clé, on constate cependant un écart, conséquent, entre l’importance que cette thématique prend dans la prise de décision des shoppers belges et la recherche d’informations réelles de la part de la population.

Si au niveau européen 49% des consommateurs disent s’informer (étude PWC), en 2022 seulement 5% des Belges affirmait avoir recherché des informations précises sur les pratiques environnementales des grands groupes (retailers et producteurs), 17% en parlait activement dans son entourage (ou sur les réseaux sociaux!) et dans le même temps, près de 80% des Belges estimait important que ces mêmes groupes agissent davantage en faveur de la planète (GFK, 2022).

Un écart substantiel qui peut laisser une trop grande place à la désinformation, aux croyances persistantes, mais également à l’absence de reconnaissance des efforts fournis par l’industrie pour maintenir et atteindre des objectifs toujours plus ambitieux. La communication reste donc essentielle.

Sincérité, pragmatisme, mais surtout maintien et renforcement
de nos ambitions

Communiquer de manière transparente, sincère et surtout compréhensible envers les shoppers belges à travers l’ensemble des touchpoints qui nous lie à eux (online & offline), voilà le véritable enjeu de cette transition vers un mode de consommation plus responsable en cette période inflationniste. Il est donc capital qu’au sein de la collaboration unissant détaillants et producteurs soit définie une véritable stratégie commune permettant de capitaliser sur les ambitions de chaque partie.

Face à un contexte inflationniste inédit, le shopper belge, tout comme son moral, son budget et ses habitudes de consommation, a été largement ébranlé.

Si l’heure est à une plus grande sobriété affichée et à une meilleure optimisation de leur budget, les ménages restent désireux d’opter pour une consommation plus responsable et continuent à attacher de l’importance à un grand nombre de valeurs, fortement liées à l’approvisionnement. Même en temps de crise économique, la recherche de sens, donnée à sa propre consommation, est incontournable. Les efforts demandés par le consommateur sur le bien-être animal, l’environnement, les droits humains et la qualité des ingrédients demeurent, et ce même en période d’inflation.

Observons ensemble ces grandes thématiques de l’approvisionnement durable et les défis qu’elles représentent pour les shoppers belges !

Aujourd’hui plus que jamais, consommer de manière responsable, ne se limite plus aux produits finaux mais aussi (et surtout !) à l’ensemble de la phase de production et de distribution.

Si le pouvoir d’achat reste la préoccupation première des consommateurs belges (selon un enquête WWF réalisée en 2022 auprès de 1028 consommateurs belges), ils attachent néanmoins toujours de l’importance à la durabilité. Une étude réalisée par GFK en novembre 2022 montre que parmi les 10 éléments principaux qui influencent le choix du shopper européen, la perception prix arrive en 2ème position, la réduction des déchets obtient la 6ème place, le packaging eco-friendly la 9ème et le bien être animal la 10ème place. La notion de neutralité carbone n’arrive qu’en 14ème place, probablement parce que le concept est complexe à comprendre pour le consommateur.

Attentes envers les entreprises et les autorités

D’ailleurs celui-ci s’informe de plus en plus! Selon la société de consultance PWC, 49% des consommateurs et 66% des millennials européens utilisent internet afin de mieux connaitre les pratiques ESG d’une entreprise avant d’en acheter un produit ou un service. Ils veulent vérifier notamment si le sourcing de l’entreprise est responsable. Ces shoppers attendent des efforts conséquents de la part de sociétés FMCG notamment en ce qui concerne l’énergie, la protection des ressources et la réduction des déchets.

Dès lors, comment allier budget et préoccupations environnementales ? Pour 74% des Belges interrogés, le gouvernement devrait soutenir les produits qui ont un impact faible ou positif sur la planète afin qu’ils soient disponibles à un prix moins élevé (étude BBDO 2022).

Tant le gouvernement que les entreprises (internationales) ou les retailers ont une responsabilité et un rôle important à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Efficaces les labels ? Oui mais avec une bonne dose
de pédagogie!

Pour répondre aux attentes sociétales, un nombre croissant de produits affichent différentes sortes de logos, labels et pictogrammes permettant au shopper de prendre sa décision de la manière la plus éclairée possible. Ceux-ci parlent-ils aux consommateurs et sont-ils bien compris?

Intérêt

  • 64% des shoppers déclarent acheter des produits estampillés d’un label relatif à son empreinte carbone et
  • 60% le font pour les produits labélisés sur le plan du bien-être animal (Source : GfK : Who Cares ? Who does ? Belgium – 2022).

En revanche, sur ces deux critères, un Belge sur quatre déclare ne pas être au courant ou ne pas voir ces labels en magasin lors de ses achats.

Compréhension et confusion

En moyenne, le shopper belge sait identifier 6.3 logos/labels différents relatifs aux allégations équitables, éthiques, bio, écologiques et locaux (Enabel, 2021).

Cependant, la moitié des shoppers affirme qu’ils ne comprennent pas la signification de l’ensemble des labels qu’ils reconnaissent. Et 41% des shoppers estime que la trop grande diversité des labels prête à confusion (WWF, 2022).

Un travail d’harmonisation, de pédagogie et de transparence est donc nécessaire entre retailers et producteurs. A la fois en magasin, à travers des activations ciblées, mais également sur l’ensemble des supports media online et offline, pourrait permettre aux shoppers de faire des choix plus éclairés.

Des shoppers plus responsables en 2022 avec un effet
bénéfique sur toutes les catégories

En ce qui concerne les produits frais (viande, poisson, fruits & légumes), près de 9 shoppers Belges sur 10 donnent leur préférence d’achat aux producteurs locaux (GFK 2022) mais sous deux conditions : la disponibilité des produits en magasin et le prix.

Dans l’attrait pour les produits frais en magasin, les shoppers belges placent en tête la juste rétribution des agriculteurs (GFK, 2022). L’étude nous indique que ces mêmes shoppers, sensibilisés à l’approvisionnement responsable via l’aspect local des produits frais, auront un attrait plus fort pour d’autres gammes de produits telles que les thés, cafés et chocolats issus du commerce équitable.

Envie de changement…mais pas toujours de se renseigner

Si la communication autour des efforts fournis sur l’ensemble des chaînes de production, qu’elles soient locales ou internationales, est clé, on constate cependant un écart, conséquent, entre l’importance que cette thématique prend dans la prise de décision des shoppers belges et la recherche d’informations réelles de la part de la population.

Si au niveau européen 49% des consommateurs disent s’informer (étude PWC), en 2022 seulement 5% des Belges affirmait avoir recherché des informations précises sur les pratiques environnementales des grands groupes (retailers et producteurs), 17% en parlait activement dans son entourage (ou sur les réseaux sociaux!) et dans le même temps, près de 80% des Belges estimait important que ces mêmes groupes agissent davantage en faveur de la planète (GFK, 2022).

Un écart substantiel qui peut laisser une trop grande place à la désinformation, aux croyances persistantes, mais également à l’absence de reconnaissance des efforts fournis par l’industrie pour maintenir et atteindre des objectifs toujours plus ambitieux. La communication reste donc essentielle.

Sincérité, pragmatisme, mais surtout maintien et renforcement
de nos ambitions

Communiquer de manière transparente, sincère et surtout compréhensible envers les shoppers belges à travers l’ensemble des touchpoints qui nous lie à eux (online & offline), voilà le véritable enjeu de cette transition vers un mode de consommation plus responsable en cette période inflationniste. Il est donc capital qu’au sein de la collaboration unissant détaillants et producteurs soit définie une véritable stratégie commune permettant de capitaliser sur les ambitions de chaque partie.

C’est connu, l’élevage de bétail, pour la production de lait ou de viande, produit d’importantes émissions de CO2. Alors, comment rendre le fameux or blanc beaucoup plus vert…voire atteindre le zéro émissions nettes ? Trèfle, massages, robots fumier ou encore biogaz : de l’alimentation à la gestion du troupeau, Nestlé innove pour diminuer drastiquement les émissions de sa filière laitière partout dans le monde. En solo ? Absolument pas ! L’approvisionnement durable nécessite des partenariats à tous les niveaux de la chaîne. Petite visite de deux projets aux Pays-Bas et en Allemagne.

Le lait, principale source d’émissions. Et chez vous ?

En Belgique, on adore le lait ! Notre consommation de lait est l’une des plus élevées d’Europe. Partout dans le monde les produits laitiers accompagnent toutes les étapes de la vie, depuis les premiers jours jusqu’à un âge avancé. Mais avec quelles conséquences pour la planète ?

Chez Nestlé, le lait et les produits laitiers sont les matières premières les plus importantes en volume …et elles constituent l’une de nos principales sources d’émissions de CO2. Nous les utilisons par exemple dans nos laits pour bébé, nos cappuccinos, le Nesquik, le lait concentré sucré ou encore nos barres et chocolats.

Grâce à des années de recherches, nous sommes convaincus qu'il est possible d'intensifier la durabilité de ce secteur et même d'atteindre le zéro émissions nettes. Afin d’atteindre notre objectif mondial net zero d’ici 2050, nous innovons dans la filière laitière aux quatre coins de la planète, à travers 100 projets pilotes, dont 20 fermes en voie d’atteindre la neutralité carbone prochainement.

Quels projets inspirants aux portes de la Belgique ?
Direction les Pays-Bas et l’Allemagne !

Aux Pays-Bas Nestlé vient de lancer un projet pilote de taille en collaboration avec son fournisseur Vreugdenhil Dairy Foods, l'Université de Wageningen et un petit groupe d’agriculteurs enthousiastes. L’objectif : réduire de moitié les émissions de 17 exploitations néerlandaises d’ici 2030 principalement grâce à l’agriculture régénérative, et étendre progressivement le projet à 250 fermes. Montant de l’investissement conjoint avec Vreugdenhil: 50 millions d’euros.

Après les USA et l’Afrique du Sud, Nestlé a lancé en Allemagne sa première ferme laitière dont l’objectif est d’atteindre zéro émissions nettes d’ici 2025. Mario et ses 135 vaches seront épaulés par les équipes scientifiques de Nestlé et de ses partenaires, et partageront leurs connaissances avec d’autres exploitations en Allemagne et dans le monde.

Il n’y a pas que le méthane !

Plusieurs paramètres influencent l’impact environnemental des fermes, à des niveaux variables, et agissent les uns sur les autres. Une approche holistique est dès lors nécessaire.

Klimatmelch

Transparence et responsabilité : suivi de nos progrès
et liste de nos fournisseurs accessibles

À travers notre initiative « Dairy for You » nous voulons accélérer la façon dont nous nous approvisionnons et produisons des produits laitiers nutritifs de manière durable et responsable. C’est pourquoi nous partageons en toute transparence nos progrès avec nos principales parties prenantes, y compris les consommateurs. Pour tenir nos fournisseurs et nous-mêmes responsables et pour favoriser la transparence à l'échelle de l'industrie, nous avons publié la liste de nos fournisseurs d'ingrédients laitiers de niveau 1 et la liste de nos fournisseurs de lait frais de notre chaîne d'approvisionnement.

C’est connu, l’élevage de bétail, pour la production de lait ou de viande, produit d’importantes émissions de CO2. Alors, comment rendre le fameux or blanc beaucoup plus vert…voire atteindre le zéro émissions nettes ? Trèfle, massages, robots fumier ou encore biogaz : de l’alimentation à la gestion du troupeau, Nestlé innove pour diminuer drastiquement les émissions de sa filière laitière partout dans le monde. En solo ? Absolument pas ! L’approvisionnement durable nécessite des partenariats à tous les niveaux de la chaîne. Petite visite de deux projets aux Pays-Bas et en Allemagne.

Le lait, principale source d’émissions. Et chez vous ?

En Belgique, on adore le lait ! Notre consommation de lait est l’une des plus élevées d’Europe. Partout dans le monde les produits laitiers accompagnent toutes les étapes de la vie, depuis les premiers jours jusqu’à un âge avancé. Mais avec quelles conséquences pour la planète ?

Chez Nestlé, le lait et les produits laitiers sont les matières premières les plus importantes en volume …et elles constituent l’une de nos principales sources d’émissions de CO2. Nous les utilisons par exemple dans nos laits pour bébé, nos cappuccinos, le Nesquik, le lait concentré sucré ou encore nos barres et chocolats.

Grâce à des années de recherches, nous sommes convaincus qu'il est possible d'intensifier la durabilité de ce secteur et même d'atteindre le zéro émissions nettes. Afin d’atteindre notre objectif mondial net zero d’ici 2050, nous innovons dans la filière laitière aux quatre coins de la planète, à travers 100 projets pilotes, dont 20 fermes en voie d’atteindre la neutralité carbone prochainement.

Quels projets inspirants aux portes de la Belgique ?
Direction les Pays-Bas et l’Allemagne !

Aux Pays-Bas Nestlé vient de lancer un projet pilote de taille en collaboration avec son fournisseur Vreugdenhil Dairy Foods, l'Université de Wageningen et un petit groupe d’agriculteurs enthousiastes. L’objectif : réduire de moitié les émissions de 17 exploitations néerlandaises d’ici 2030 principalement grâce à l’agriculture régénérative, et étendre progressivement le projet à 250 fermes. Montant de l’investissement conjoint avec Vreugdenhil: 50 millions d’euros.

Après les USA et l’Afrique du Sud, Nestlé a lancé en Allemagne sa première ferme laitière dont l’objectif est d’atteindre zéro émissions nettes d’ici 2025. Mario et ses 135 vaches seront épaulés par les équipes scientifiques de Nestlé et de ses partenaires, et partageront leurs connaissances avec d’autres exploitations en Allemagne et dans le monde.

Il n’y a pas que le méthane !

Plusieurs paramètres influencent l’impact environnemental des fermes, à des niveaux variables, et agissent les uns sur les autres. Une approche holistique est dès lors nécessaire.

Klimamilch

Transparence et responsabilité : suivi de nos progrès
et liste de nos fournisseurs accessibles

À travers notre initiative « Dairy for You » nous voulons accélérer la façon dont nous nous approvisionnons et produisons des produits laitiers nutritifs de manière durable et responsable. C’est pourquoi nous partageons en toute transparence nos progrès avec nos principales parties prenantes, y compris les consommateurs. Pour tenir nos fournisseurs et nous-mêmes responsables et pour favoriser la transparence à l'échelle de l'industrie, nous avons publié la liste de nos fournisseurs d'ingrédients laitiers de niveau 1 et la liste de nos fournisseurs de lait frais de notre chaîne d'approvisionnement.

Environ 15 % de nos émissions totales de gaz à effet de serre résultent de la fabrication et du transport de nos produits, hors ingrédients. Pour en venir à bout, nos équipes mettent en œuvre de nouveaux modèles et technologies, notamment les carburants bas carbone et l’énergie verte. Depuis les chaudières à biomasse jusqu’à la propulsion éolienne en passant par le biogaz liquéfié ou encore le premier camion 44T 100% électrique, petit tour des initiatives en cours.

Utiliser de l’énergie verte…et même la fabriquer avec du café

Diminuer sa dépendance aux énergies fossiles est l’un des axes clés de la politique de Nestlé en matière de décarbonation de ses activités, ceci afin d’atteindre le zéro émissions nettes pour 2050.

D’une part, utiliser 100% d’électricité verte au sein de tous les sites sera bientôt une réalité. Aujourd’hui, 95% des infrastructures européennes s’alimentent en énergie renouvelable : solaire, éolienne, hydroélectrique ou encore marémotrice. Celle-ci provient soit directement de nos installations, soit elle est achetée. En Belgique, c’est déjà le cas de notre usine d’eau à Etalle et de notre siège bruxellois. D’ici 2025, la totalité de nos sites dans le monde feront de même. 

D’autre part, au-delà des investissements consentis pour améliorer l’efficacité énergétique de nos usines, Nestlé s’attache à utiliser plus d’énergie renouvelable. L’énergie thermique en est l’un des projets centraux. A cet effet nous installons par exemple des pompes à chaleurs, trois fois moins énergivores, et des chaudières à biomasse. 

Par exemple, notre usine Nescafé à Gérone, en Espagne, utilise 80% des 40 000 tonnes de marc de café pour alimenter une chaudière à biomasse qui produit de la vapeur. Remplacer ainsi les sources de gaz naturel permet d'éviter environ 19 000 tonnes d'équivalent CO2 chaque année.
 

production-de-vapeur-coffee-grounds-orbe
marc-de-café-biogaz

En route pour une logistique intelligente et bas carbone

Ce ne sont pas les projets qui manquent chez Nestlé pour s’affranchir des 8% d’émissions que génèrent majoritairement le transport de ses ingrédients et produits. Si la tâche est complexe, et nécessite une coopération accrue dans toute la chaîne, les dernières innovations en la matière offrent des perspectives très encourageantes.

1. Plus de trains et de bateaux et une optimisation constante

Le transport multimodal ne cesse de se développer et permet de transférer le volume des camions à diesel vers le rail ou le transport maritime. Nestlé développe sans cesse de nouvelles routes multimodales, qui, avec les bonnes technologies, peuvent permettre de réduire de 50% ses émissions. De plus, elle réduit le transport en avion de certaines catégories de produits. 

Quelques exemples :

  • Depuis 2021, 30 % de la logistique européenne de Nestlé Waters est passée de la route au rail. Les eaux Perrier et San Pellegrino sont livrées en Belgique 100% en train-camion.
  • Les laits de croissance venant de notre usine d’Espagne sont transportés notamment par bateau jusque chez nous
  • En 2022 nous avons déployé en Europe 40 nouvelles routes intermodales pour une réduction de plus de 10.000 tonnes de CO2 par an
  • Deux trains par semaine sont désormais entièrement dédiés au transport de nos produits entre l’Italie et le Royaume-Uni. 

 
La logistique durable, ensuite, vise notamment à maximiser l’utilisation des camions grâce à un système de palettisation efficace. C’est déjà le cas en Suisse avec nos palettes de Nesquik qui ont permis de diminuer d’un tiers les émissions. 

Une autre approche vise aussi moins de livraisons par client, avec leur accord, en maximisant la charge utile de chaque camion ou encore des livraisons directes chez les clients, sans détour par nos entrepôts. 

2. Les carburants alternatifs bas carbone

Nestlé explore toutes les possibilités pour diminuer son recours aux énergies fossiles avec différents types de carburants verts comme le biogaz liquéfié, l’électricité, l’hydrogène et même le vent ! 

  • Nestlé est particulièrement engagée dans le biogaz, un combustible issu des déchets zootechniques et agricoles, permettant de réduire à zéro les émissions de CO2. Nous considérons cette solution comme une pièce maîtresse du puzzle des différentes solutions techniques qui refaçonneront l'industrie du transport à moyen et long terme.
  • En Italie, le BioLNG est utilisé aussi bien pour le transport routier que pour le transport maritime. En 2021, 6000T de CO2 ont été économisées grâce à cette technologie. 
  • Plusieurs projets sont menés en parallèle en France et en Allemagne. Le Royaume-Uni est en train de convertir toute sa flotte en BioLNG. 
  • L’électrification du transport joue aussi un rôle majeur dans la logistique de demain. Nestlé est d’ailleurs l’une des premières entreprises à tester trois nouveaux poids lourds de 44T 100% électriques en Europe
  • Plusieurs camions à hydrogène vert assurent la livraison de nos produits en Suisse, et n’émettent rien du tout…sinon de la vapeur d’eau !
  • Dès 2025, Nestlé Waters France utilisera le premier train de fret alimenté à l’hydrogène grâce à une solution innovante développée par Alstom et ENGIE. À terme, ce projet devrait permettre à Nestlé Waters de réduire les émissions de 10 000 tonnes équivalent CO2 par an, soit uneréduction de 90% de ses émissions annuelles actuelles.
  • Enfin, Nestlé Waters a rejoint la Shipper's Coalition, une organisation à but non lucratif soutenant la construction de nouveaux navires à propulsion éolienne pour le transport de l'Europe vers les États-Unis. Cette technologie devrait réduire de 50% les émissions liées au fret maritime. 
train hydrogène
emissions CO2 graph EN
Comment sont réparties les émissions de gaz à effet de serre chez Nestlé ? Les ingrédients en constituent la plus grande partie (72%) et sont suivis par les emballages, la logistique et la fabrication des produits. D’ici 2030 nous voulons réduire de moitié nos émissions pour arriver à zéro émissions nettes en 2050.
95 %
40
20 %

Face à un contexte inflationniste inédit, le shopper belge, tout comme son moral, son budget et ses habitudes de consommation, a été largement ébranlé.

Si l’heure est à une plus grande sobriété affichée et à une meilleure optimisation de leur budget, les ménages restent désireux d’opter pour une consommation plus responsable et continuent à attacher de l’importance à un grand nombre de valeurs, fortement liées à l’approvisionnement. Même en temps de crise économique, la recherche de sens, donnée à sa propre consommation, est incontournable. Les efforts demandés par le consommateur sur le bien-être animal, l’environnement, les droits humains et la qualité des ingrédients demeurent, et ce même en période d’inflation.

Observons ensemble ces grandes thématiques de l’approvisionnement durable et les défis qu’elles représentent pour les shoppers belges !

Aujourd’hui plus que jamais, consommer de manière responsable, ne se limite plus aux produits finaux mais aussi (et surtout !) à l’ensemble de la phase de production et de distribution.

Si le pouvoir d’achat reste la préoccupation première des consommateurs belges (selon un enquête WWF réalisée en 2022 auprès de 1028 consommateurs belges), ils attachent néanmoins toujours de l’importance à la durabilité. Une étude réalisée par GFK en novembre 2022 montre que parmi les 10 éléments principaux qui influencent le choix du shopper européen, la perception prix arrive en 2ème position, la réduction des déchets obtient la 6ème place, le packaging eco-friendly la 9ème et le bien être animal la 10ème place. La notion de neutralité carbone n’arrive qu’en 14ème place, probablement parce que le concept est complexe à comprendre pour le consommateur.

Attentes envers les entreprises et les autorités

D’ailleurs celui-ci s’informe de plus en plus! Selon la société de consultance PWC, 49% des consommateurs et 66% des millennials européens utilisent internet afin de mieux connaitre les pratiques ESG d’une entreprise avant d’en acheter un produit ou un service. Ils veulent vérifier notamment si le sourcing de l’entreprise est responsable. Ces shoppers attendent des efforts conséquents de la part de sociétés FMCG notamment en ce qui concerne l’énergie, la protection des ressources et la réduction des déchets.

Dès lors, comment allier budget et préoccupations environnementales ? Pour 74% des Belges interrogés, le gouvernement devrait soutenir les produits qui ont un impact faible ou positif sur la planète afin qu’ils soient disponibles à un prix moins élevé (étude BBDO 2022).

Tant le gouvernement que les entreprises (internationales) ou les retailers ont une responsabilité et un rôle important à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Efficaces les labels ? Oui mais avec une bonne dose
de pédagogie!

Pour répondre aux attentes sociétales, un nombre croissant de produits affichent différentes sortes de logos, labels et pictogrammes permettant au shopper de prendre sa décision de la manière la plus éclairée possible. Ceux-ci parlent-ils aux consommateurs et sont-ils bien compris?

Intérêt

  • 64% des shoppers déclarent acheter des produits estampillés d’un label relatif à son empreinte carbone et
  • 60% le font pour les produits labélisés sur le plan du bien-être animal (Source : GfK : Who Cares ? Who does ? Belgium – 2022).

En revanche, sur ces deux critères, un Belge sur quatre déclare ne pas être au courant ou ne pas voir ces labels en magasin lors de ses achats.

Compréhension et confusion

En moyenne, le shopper belge sait identifier 6.3 logos/labels différents relatifs aux allégations équitables, éthiques, bio, écologiques et locaux (Enabel, 2021).

Cependant, la moitié des shoppers affirme qu’ils ne comprennent pas la signification de l’ensemble des labels qu’ils reconnaissent. Et 41% des shoppers estime que la trop grande diversité des labels prête à confusion (WWF, 2022).

Un travail d’harmonisation, de pédagogie et de transparence est donc nécessaire entre retailers et producteurs. A la fois en magasin, à travers des activations ciblées, mais également sur l’ensemble des supports media online et offline, pourrait permettre aux shoppers de faire des choix plus éclairés.

Des shoppers plus responsables en 2022 avec un effet
bénéfique sur toutes les catégories

En ce qui concerne les produits frais (viande, poisson, fruits & légumes), près de 9 shoppers Belges sur 10 donnent leur préférence d’achat aux producteurs locaux (GFK 2022) mais sous deux conditions : la disponibilité des produits en magasin et le prix.

Dans l’attrait pour les produits frais en magasin, les shoppers belges placent en tête la juste rétribution des agriculteurs (GFK, 2022). L’étude nous indique que ces mêmes shoppers, sensibilisés à l’approvisionnement responsable via l’aspect local des produits frais, auront un attrait plus fort pour d’autres gammes de produits telles que les thés, cafés et chocolats issus du commerce équitable.

Envie de changement…mais pas toujours de se renseigner

Si la communication autour des efforts fournis sur l’ensemble des chaînes de production, qu’elles soient locales ou internationales, est clé, on constate cependant un écart, conséquent, entre l’importance que cette thématique prend dans la prise de décision des shoppers belges et la recherche d’informations réelles de la part de la population.

Si au niveau européen 49% des consommateurs disent s’informer (étude PWC), en 2022 seulement 5% des Belges affirmait avoir recherché des informations précises sur les pratiques environnementales des grands groupes (retailers et producteurs), 17% en parlait activement dans son entourage (ou sur les réseaux sociaux!) et dans le même temps, près de 80% des Belges estimait important que ces mêmes groupes agissent davantage en faveur de la planète (GFK, 2022).

Un écart substantiel qui peut laisser une trop grande place à la désinformation, aux croyances persistantes, mais également à l’absence de reconnaissance des efforts fournis par l’industrie pour maintenir et atteindre des objectifs toujours plus ambitieux. La communication reste donc essentielle.

Sincérité, pragmatisme, mais surtout maintien et renforcement
de nos ambitions

Communiquer de manière transparente, sincère et surtout compréhensible envers les shoppers belges à travers l’ensemble des touchpoints qui nous lie à eux (online & offline), voilà le véritable enjeu de cette transition vers un mode de consommation plus responsable en cette période inflationniste. Il est donc capital qu’au sein de la collaboration unissant détaillants et producteurs soit définie une véritable stratégie commune permettant de capitaliser sur les ambitions de chaque partie.

Nestlé et Delhaize s’engagent à gagner ensemble
à travers le Joint Business Plan

2023 marque le début d’une nouvelle ère dans la relation entre Nestlé et Delhaize. Après le succès confirmé pour nos deux entreprises dans la catégorie café, Nestlé est honorée de rejoindre avec l’ensemble de ses catégories le Joint Business Plan (JBP) de Delhaize. Le but de ce partenariat : travailler de concert pour atteindre des objectifs ambitieux. Et ils ne sont pas des moindres ! Nos deux entreprises visent tout simplement à dépasser respectivement le marché. Pour y arriver elles vont non seulement s’aligner sur des objectifs mutuels (chiffre d’affaires, parts de marché etc.), déployer chacune les efforts nécessaires pour les atteindre et en suivre l’évolution au travers de scorecards.

Tout au long de l’année, les équipes seront en contact proche, avec des réunions d’ajustement régulières entre les différents niveaux de notre management.

« Cette approche win-win pour nos deux entreprises est unique et très prometteuse. Nous sommes convaincus que notre nouveau modèle de collaboration va nous permettre de gagner encore davantage sur le marché » nous confie Jacky Indriets, Corporate Customer Manager pour Delhaize.

Pour marquer le coup d’envoi de cette nouvelle relation, les équipes sourcing et les category managers de Delhaize ont été invités au siège de Nestlé pour un kick off meeting. Au programme : partage de la stratégie d’assortiment et des plans de catégorie, brainstorming sur les opportunités d’avenir... et du très bon café !

Une session riche en échanges qui s’est terminée en feu d’artifice culinaire 100% végétal! Les gourmets de Delhaize ont pu découvrir la versatilité culinaire des produits végétariens Garden Gourmet au travers d’un repas concocté avec passion par notre chef Nestlé Charles Payet.

Tri des capsules de café : Nestlé met un coup d’accélérateur

Delhaize et Nestlé partagent un ADN commun, celui de contribuer à un avenir plus sain, pour les hommes et la planète. A côté de nos initiatives fortes en matière de nutrition, la durabilité tient une place centrale dans nos stratégies. Le démonstration avec notre engagement en matière de recyclage des capsules de café.  

Depuis janvier, les capsules en aluminium et en plastique peuvent être triées dans le sac bleu. Un plus grand confort pour les amateurs de café, et le fruit du travail et d’années de recherche et de discussions entre Nespresso et Fost plus, suivis par Nestlé et ses marques de café iconiques (plus de détails dans l’article ici).  

Afin de partager cette excellente nouvelle avec les clients Delhaize, et de les inviter à utiliser désormais le sac bleu, nous avons lancé une vaste campagne marketing avec des shelfstoppers Nescafé Dolce Gusto et des abribus Starbucks dans tous les magasins du groupe.

capsule

Reset de la catégorie boissons chaudes sous le feu des caméras

Ce n’est pas un hasard si Delhaize a associé une équipe de Nestlé, le spécialiste mondial du café et preferred partner de l’enseigne, pour plancher sur la réorganisation de la catégorie boissons chaudes. Avec nos grandes marques Nescafé, Nescafé Dolce Gusto, Nescafé Farmers Origins et Starbucks dans le retail, nous en connaissons un rayon en la matière ! Delhaize a également fait appel à Amoobi, société experte en optimisation de points de vente et d’analyse de données.

Le projet consiste à analyser et à repenser le planogramme dans sa totalité afin d'en optimiser sa lisibilité ainsi que l'espace alloué à chacun des différents segments de la catégorie. Et ce en passant au crible les comportements des shoppers de manière tout à fait novatrice au moyen de caméras placées au sein même du rayon par la société Amoobi.

Ensemble les trois acteurs ont travaillé sur une refonte du rayon qu’ils ont déployée au Delhaize d’Alsemberg. Une équipe Sales&Marketing de Nestlé a d’ailleurs mis la main à la pâte pour remplir les étagères avant l’ouverture. Après plusieurs semaines de test, les données récoltées par Amoobi seront partagées avec Delhaize et notre équipe afin de proposer ensemble des pistes d’amélioration de la catégorie. Une collaboration win-win pour Nestlé et Delhaize.

Colruyt et Nestlé partagent la même ambition : proposer une alimentation durable qui réponde aux besoins en perpétuelle évolution des consommateurs. Pour accélérer la collaboration sur une série de sujets clés, nous avons invité un duo de responsables de la durabilité et des achats de Colruyt à une visite exclusive de notre Centre de Recherche à Lausanne, en Suisse.

Avec 4.100 collaborateurs actifs en R&D partout dans le monde et un investissement annuel de plus de 1,7 milliard de CHF, Nestlé dispose du réseau scientifique et d'innovation le plus avancé de l'industrie alimentaire. En Suisse elle compte plusieurs centres de recherches et un incubateur (R+D Accelerator). C’est à Lausanne que l’équipe Colruyt a été reçue fin 2022 pour se pencher non seulement sur les dernières découvertes de nos chercheurs mais aussi sur ses travaux en cours.

Enjeux climatiques et sciences agricoles

Après une présentation sur nos engagements à faire progresser les systèmes alimentaires régénératifs à grande échelle, ainsi que des exemples concrets de marché à travers l'Europe, nos visiteurs ont découvert les domaines de recherche clés de notre département de sciences agricoles. Comment travaillons-nous pour réduire le méthane de nos exploitations laitières (découvre l’article à ce sujet ici) ? Quelles sont les céréales et les légumineuses à faible émission ? Comment aider nos plants de café à faire face au changement climatique ?

Un emballage 100% sûr et uniquement en papier

Inauguré en 2019, le Nestlé Institute of Packaging Science planche sur des dizaines de solutions en matière de matériaux, de conception et de modèles d’emballages. L’équipe de Colruyt a pu découvrir l’une des dernières innovations de nos chercheurs : un emballage 100 % en papier et qui garantit la sécurité alimentaire des aliments. Une présentation qui a suscité un engouement tout particulier et donné lieu à de nombreuses questions.

Manger des produits de la mer sans se mouiller

Un autre moment clé de la visite a été la présentation des toutes dernières nouveautés en matière d’alternative végétale sur les bancs de notre R+D Accelerator, un incubateur unique en son genre où des start-ups du monde entier, et nos employés, pitchent leurs idées. Tout cela en dégustant une gamme de délicieux cafés latte végétaux qui cochent toutes les cases des panels consommateurs. Mais ce qui a impressionné tous les participants à cette journée, et les a convaincus du rôle pionnier de Nestlé, a été le repas gastronomique végétal préparé à base des produits Garden Gourmet. Au menu : toasts au Voie Gras, sushis de Vuna (thon), Vrimps (crevettes), œufs brouillés et même des calamars ! Des produits délicieux qui contiennent un nombre d’ingrédients minime, contrairement aux idées reçues. La preuve que plus rien n’arrêtera la révolution végétarienne qui s’opère chez Nestlé.

Et la suite ?

Si cette visite est une formidable source d’inspiration, c’est aussi une occasion pour Nestlé et ses clients d’échanger sur leur collaboration dans un contexte plus large. Une expérience qui se solde par une meilleure compréhension des défis auxquels chacune des parties est exposée et l’envie de mobiliser conjointement ses forces pour avancer ensemble vers le futur.

Compass : le nouveau data copilote qui booste les ventes
dans les magasins Carrefour

Nous vivons une époque formidable où les données affluent de toutes parts pour nous aider à mieux performer. Encore faut-il pouvoir les exploiter facilement et systématiquement…

C’est chose faite grâce à l’outil « Compass » que Nestlé a développé pour soutenir davantage ses équipes de vente. Si jusqu’alors les discussions commerciales entre nos Sales advisors et les gérants se basaient majoritairement sur l’expérience et la relation, elles s’appuient aujourd’hui également sur les Carrefour’s Selling Out data.

Les données hebdomadaires sont désormais converties en tableaux de bord Power Bi hyper lisibles et sont exploitées au quotidien par nos Sales advisors. Positionnement d’un magasin dans une région, chiffre d’affaires d’une catégorie après une promo, efficacité des actions locales, nécessité de remodeling, introduction d’innovations etc., ce ne sont pas moins de 9 critères d’analyses qui sont mis à disposition des équipes.

Après trois mois de test le succès est au rendez-vous ! La relation commerciale avec les magasins s’est encore renforcée : au moment de prendre une décision pour une action spécifique dans leur magasin, les gérants sont rassurés par les données et peuvent ensuite rapidement en évaluer l’impact. Une approche win-win pour Carrefour et Nestlé. Nos Sales Advisors témoignent: « Grâce à Compass, nous avons pu utiliser les données des promotions précédentes pour convaincre un gérant de doubler ses commandes et les ventes ont suivi ! », nous expliquent Bart et Junior. Marie : « J’ai utilisé Compass pour démontrer aux responsables de rayons l’impact d’une action locale sur les ventes ». « Nous avons analysé avec un chef de rayon la performance du rayon café par rapport à d’autres magasins et nous en avons conclu qu’un remodeling était nécessaire. Dans les semaines qui ont suivi celui-ci, nous avons constaté une hausse significative des ventes autant pour la catégorie que pour Nestlé » se réjouit Kobe.

Si l’expérience du terrain sera toujours la plus grande force de nos équipes respectives, elle se dote désormais de super pouvoirs pour continuer à gagner ensemble.

Donner aux shoppers une belle raison (supplémentaire)
d’acheter un produit Purina

Comment dynamiser une catégorie avec un projet sociétal tout en partageant les valeurs fortes d’une marque ? C’est l’expérience qu’a mené Purina avec une activation dans une quinzaine d’hypermarchés Carrefour.

Les propriétaires d’animaux de compagnie sont particulièrement sensibles à la cause animale. En plus de nourrir leurs compagnons à quatre pattes avec une alimentation de qualité, ils sont généralement enthousiastes à l’idée de jouer un rôle en faveur du bien-être de tous les animaux. C’est aussi le cas de Purina qui a pris l’engagement d’aller au-delà du contenu du bol pour contribuer à améliorer la vie des animaux de compagnie et de ceux qui les aiment. L’une des six promesses de notre marque de petfood est d’ailleurs de promouvoir l’adoption responsable. Nous nous sommes dès lors associés à long terme à l’Union Wallonne pour la Protection Animale et à leur réseau de refuges à travers des actions de dons de nourriture pour chien et chat.

Dans le cadre de ce partenariat, Purina a donné l’opportunité aux shoppers de la catégorie de dépasser le simple rapport qualité/prix lors de l’achat d’un produit et de s’engager à ses côtés pour une bonne cause. Pour chaque référence vendue durant les deux semaines de l’action, un repas serait offert à un refuge. Début mars, ce sont plus de 18 000 repas qui ont été servis aux animaux abandonnés. L’impact de cette activation est en cours d’analyse et pourrait aboutir à un projet structurel dans le cadre de « Act for Food ».